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J’appartiens à Snake désormais Ch 3
I belong to Snake
Chapitre 3 : Le dressage commence, elle sert d'abord de femme de ménage à son tourmenteur puis de vide couille à ses amis !
Je rentrais rapidement chez moi, en approchant, je me rendis compte à quel point j'avais été stupide de me tracasser de ne pas avoir revêtu ma tenue habituelle.
Cela importait peu, je rentrais tout droit au garage et refermais la porte avant de sortir de la voiture, j'empoignais mon sac et me ruais dans la salle de bain, je me débarrassais de mes fringues putassières et préparais une tenue ordinaire et prit une longue douche bien chaude.
Je me sentais toujours souillée, mais je pouvais maintenant prétendre que tout était normal, aucunes traces ne subsistaient des ignobles épreuves que j'avais endurées toute la journée.
Je m'habillais et préparais le souper.
Je n'avais pas à me tracasser d'avoir manqué un coup de fil ou un message de mon mari pendant la journée.....
Il n'appelait jamais, il détestait utiliser le téléphone, nous ne possédions pas de répondeur, nous n'avions ni le câble ni le satellite, nous n'avions qu'un poste de télé petit écran et il ne servait guère qu'à regarder les informations.
Nous avions un ordinateur pour la seule raison qu'il avait parfois besoin de travailler à la maison.
Une fois même je l'avais accusé d'être un véritable ermite, de ne vivre qu'à moitié, il répondait que les gens qui étaient trop insérés dans la société, trop dépendants de la société ne pouvaient jamais se relaxer, et encore mois regonfler les batteries.
Que par ailleurs les couples ne communiquaient plus, qu'ils rentraient chez eux, soupaient puis regardaient des séries télés idiotes mettant en scène des médecins ou des flics puis allaient se coucher avant de sombrer dans les bras de Morphée.
Aussi se refusait-il à ce que l'on vive ainsi, nous soupions légèrement, puis on lisait ensemble et discutions de nos lectures, ou de toutes choses intéressantes advenues pendant la journée ou entendues aux informations, de tout et de rien en quelque sorte.
Nous lisons souvent la bible et nous prions, nous formions un couple honnête, respectant la bonne morale.
Et voila que j'étais devenue une pute, une salope
- "Oh mon Dieu, qu'allais-je faire ? ....."
Je n'avais aucune idée du nombre d'hommes qui avaient possédé mon corps aujourd'hui même, et j'ignorais totalement quand ce chantage prendrait fin! .....
Le souper était prêt comme d'ordinaire, la table était mise lorsque j'entendis mon mari garer sa voiture dans le garage. C'est alors que je pensais :
- "Oh mon Dieu, vais-je pouvoir l'embrasser alors que j'ai sucé autant d'hommes dans la journée? ...."
Je me débrouillais pourtant pour l'embrasser comme à l'ordinaire, avant de poser le souper sur la table et de me plonger dans une conversation vide de tout sens sans clamer qu'une bande de motards m'avaient violée. Et que cela se reproduirait vraisemblablement dès le lendemain, ou dans un avenir très proche! ....
J'étais maintenant une bonne salope, une de ces putes capables de fournir des gorges profondes à leurs clients enthousiastes! .....
J'avais pris la résolution de ne pas m'effondrer en pleurant comme une petite fille! .....
Je devais me débrouiller pour que Jay ne remarque rien, que tout était normal ce soir.
Je lui dis que j'étais juste un peu fatiguée.
On regarda en chœur les informations, plus particulièrement avoir les infos météo, les autres infos ne l'intéressaient pas en fait.
Nous votions républicain quoi qu'il arrive! ....
C'était notre courtier qui gérait nos fonds, aussi les nouvelles financières ne nous intéressaient-elles pas
Les crimes, les guerres, les luttes de pouvoir, la pauvreté dans le monde ne nous concernaient pas! .....
La pollution était un mythe.
Jay sortit la bible vers 21 heures, mais je lui dis que j'étais trop fatiguée pour me concentrer correctement.
Aussi nous allâmes au lit, une petite prière de quelques minutes puis Jay s'endormit du sommeil du juste alors que je contemplais le plafond pendant une bonne partie de la nuit! ....
Je regardais l'horloge comptant les heures qui me restaient avant de retourner à la maison de Snake.
Je parvins tout de même à dormir quelques heures avant que ne sonne le réveil, j'arrêtais la sonnerie me levais et préparais le petit déjeuner de mon mari. et j'avalais une tasse de café.
C'est tout ce que je pus avaler, je craignais tant le jour qui arrivait, les épreuves que je devrais encore endurer! .....
Jay partit à 6 heures et demi, je dus alors me dépêcher : je chargeais mon équipement de lavage dans la voiture pris une douche rapide et enfilais ma tenue de salope.
Je n'avais que peu de choix, deux jupes, et quatre brassières.
Je choisis de ne pas porter le harnais de cuir, à la place j'enfilais une brassière extrémal courte qui exposait une large potion de mes miches.
Cela importait peu de toute manière, je devrai l'enlever rapidement.
Je grimpais dans ma voiture et me pressais de gagner la maison de Snake, il venait tout juste de rentrer chez lui, il mangeait son petit déjeuner lorsque je frappais à la porte, il me hurla d'entrer, je posais mon équipement de lavage et retournais à la voiture pour y prendre le reste des fournitures.
Lorsque j'eux descendu et rentré toutes les fournitures, j'enlevais ma tenue de pute et jetais un coup d’œil circulaire pour déterminer par quoi commencer.
C'était, et de loin la maison la plus sale que j'ai jamais vu. Je supposais que ce par quoi j'allais commencer importait peu.
Je gagnais la cuisine pour demander à Snake ses instructions.
Il était toujours en train de déjeuner, je ne sais pas comment appeler son repas : était-ce un déjeuner tardif ou un dîner anticipé? .....
Il jeta un regard sur moi et sourit, ravi de ce qu'il voyait. Je lui demandais s'il avait des instructions particulières à me donner.
- "Ouais je vais aller me reposer un moment je veux que tu te remues ton petit cul, mais sans te crever! ..... Tu peux te servir de l'aspirateur pour nettoyer la cuisine et le salon, tu t'occuperas du hall plus tard! ...... Pendant que je serai dans la chambre, je compte bien que tu nettoies au moins la salle de bain, la cuisine, et le salon et que tout soit impeccable! ..... Si ce n'était pas le cas je m'amuserai avec tes charmes! ......"
Je lui demandais où je trouverai de quoi laver et sécher le sol, il ne disposait de rien qui m'aurait facilité la tâche.
Je commençais par passer un coup d'aspirateur dans le salon, cela me semblait étrange de m'occuper de ces tâches ménagères entièrement nue.
Snake se recula vers la chambre, puis il s'arrêta un instant et me sollicita :
- "Viens ici et suce ma bite avant que j'aille m'étendre... Je dors mieux les couilles vides! ....."
Je posais tout et le suivit dans la chambre, un seul coup d’œil à sa chambre suffit à me rendre malade.
Elle était pleine d'ordures, des vêtements sales surtout des jeans, des tee-shirts et des sous-vêtements, des serviettes sales et des piles de linge posées ça et là, des plats sales contenant de la nourriture moisie amoncelés autour du lit et dessous, seul un étroit passage permettait de gagner le lit.
Comment pouvait-on vivre dans une telle porcherie? ......
Il se déshabilla et les jeta au sol, puis il s'étendit sur les draps souillés.
J'étais incapable de discerner leur couleur originelle.
De plus l'odeur était de plus en plus infect alors que j'avançais dans sa piaule.
Je pensais tout d'abord :
- "Quel porc! ...." puis, je réalisais que je m'accoutumais rapidement à ce type de langage que je n'avais jamais employé deux jours plus tôt! ..... »
Je rampais sur le lit, me postant entre ses cuisses, mais il me fit me retourner, lui tendant ma croupe et il se mit à manipuler ma chatoune.
Le parfum qui se dégageait de son entrecuisse couvert de sueur était innommable.
J'hésitais un instant, m'efforçant de respirer avec la bouche, il me montra qu'il s'impatientait en tirant mes poils pubiens, je me penchais et entreprit de lécher ses balloches, je les pris tour à tour en bouche et les flattais de la langue.
Je cajolais alors sa bite sur toute sa longueur avant de l'emboucher.
Pendant que je m'occupais de ses couilles et de sa queue il me doigtait la foufoune et le trou du cul mais mécaniquement, comme si cela ne l'intéressait pas vraiment.
J'ai attendu qu'il soit plus dur pour lui faire une gorge profonde.
Ma gorge était encore douloureuse suite aux exploits de la veille j'avais pris un cachet de Tylenol avant de quitter mon appart et j'avais pulvérisé un spray dans ma gorge, je ne peux pas dire que je n'avais plus mal, mais cela m'avait fait du bien, et j'allais mieux.
D'autre part, il est, et de beaucoup, préférable de faire ces choses de sa propre initiative plutôt qu d'y être forcé.
Ma pipe dura une bonne dizaine de minutes, je ne chronométrais pas le temps passé à le cajoler.
Une fois qu'il eut éjaculé dans ma bouche, j'avalais le foutre tiède et lui nettoyais minutieusement la bite.
J'avais beaucoup de travail à faire et je n'avais aucune idée du temps que je devrai y consacrer.
Finalement il retira sa main qui me pelotait la chatte et me donna une bonne claque sur les fesses et me dit d'arrêter de le mignoter et d'aller travailler! ....
Je me glissais dehors et fermais la porte et m'empressais de m'exécuter avant qu'il ne me punisse.
Je décidais de commencer par la minuscule cuisine, elle était répugnante, mais si petite que j'espérais que cela ne me prendrait pas beaucoup de temps pour la nettoyer.
D'autant plus que vu j'avais les piles d'assiettes salles dans sa chambre.
Le nettoyage de la cuisine me demanda 2 heures, et bien que je n'aurai pas aimé y rester ni y manger sur le col, comparé à ce que c'était auparavant on aurait pu se croire dans un nouvel environnement stérile.
Je passais au salon. Je ne trouvais pas les poubelles extérieures, je ne savais d'ailleurs même pas s'il y en avait.
Je remplis plusieurs sacs de déchets et je rangeai toutes mes fournitures d'un coté de la salle, je passais l'aspirateur du coté que j'avais éclairci remplissant deux fois le sac à poussière.
Puis, je me préparais un seau de lessive et me mis à quatre pattes pour frotter énergiquement la moquette.
J'étais épuisée, mais je n'osais pas m'arrêter! ...
Je transportais mes fournitures de l'autre coté de la salle et nettoyais celui-ci à son tour.
J'évitais de regarder l'horloge. Je me foutais de savoir quelle heure il pouvait être et je n'avais pas besoin de le savoir.
Je sortais l'aspirateur par la porte de devant et le rangeais hors de mon chemin, rassemblais mes produits de décrassage et gagnais la salle de bain.
Je commençais par nettoyer la baignoire noire et grise, je frottais et frottais avant que la baignoire ne redevienne blanche, débarrassée de l'épaisse couche de crasse qui la recouvrait.
Je nettoyais les toilettes, je vous ferai la faveur de ne pas décrire dans quel état je les trouvais, ainsi que l'état du sol environnant.
Puis l'évier et finalement, je me mis à genoux, et frottais le sol à plusieurs reprises avant de le cirer.
J'en terminais finalement.
J'étais sereine en sueur et éreintée, lorsque Snake revint dans ma pièce.
Il leva la lunette des toilettes se tint en face, sortit sa grosse bite et projeta un jet d'urine dans la direction générale du bassin.
Je n'avais jamais vu un homme uriner auparavant, excusez-moi : pisser auparavant, j'étais fascinée et écœurée, ne voyait-il pas ce qu'il faisait? ..... Bordel de merde! .....
J'attendais qu'il en eut fini et je revenais vers cet endroit qu'il souillait.
Le flot de son urine finit par se tarir, il secoua sa queue laissant encore tomber quelques gouttes sur le sol.
Puis il se retourna et sans broncher repartit au lit.
En chemin il s'arrêta à ma hauteur me projeta sa bite au visage m'ordonnant :
- "Fais-moi une petite pipe ma chérie! ..."
Je frémis à cette idée.
Pensiez vous qu'après avoir travaillé au milieu de ses ordures toute la matinée cela ne m'affecterait pas? .....
Je venais juste de le voir se servir de sa bite pour pisser, je n'avais pas envie de goûter l'âcreté des dernières gouttes de sa mixture.
Mais par ailleurs je ne voulais pas non plus être battue.
Aussi ouvrais-je misérablement la bouche qu'il se glisse entre mes lèvres.
Une goutte de pisse tremblait suintait encore de son méat, mais cela n'avait pas vraiment de goût, Dieu merci.
Il me tapota la tête puis regagna son lit.
Je nettoyais à nouveau l'endroit qu'il venait de vicier, puis je pris mes fournitures et les sortis de la salle de bain.
Je ne pouvais pas passer l'aspirateur dans le hall, aussi le balayais-je soigneusement, le lavais et l'épongeais.
Pour finir j'époussetais et cirais le salon.
Il ne restait plus que la chambre, les fenêtres à nettoyer, et la lessive.
Je ne pouvais pas m'occuper de la chambre, il était toujours au lit, de plus la plupart de ses vêtements se trouvaient empilés dedans.
Aussi nettoyais-je les vitres de l'intérieur en cherchant à ne pas déranger Snake, finalement j'en terminais et pris une profonde respiration.
Je pensais que j'avais bien mérité un peu de repos.
Mais je pensais qu'il valait mieux que je vérifie une dernière fois les endroits que je venais de nettoyer.
Je gagnais la cuisine et je vis des choses qui restaient à faire : comme ranger et nettoyer les tiroirs de la commode.
Mais je ne pouvais pas deviner comment il rangeait ses affaires, sinon je l'aurai fait.
Je regardais l'horloge, et à ma grande surprise je constatais que cela faisait 7 bonnes heures que je travaillais sans relâche.
Il était maintenant 14 heures, mais si je comparais hier et aujourd'hui, je préférais nettement ce que j'avais du faire ce jour.
Je terminais mon coup d’œil circulaire alors que Snake revenait dans la pièce.
Il regarda autour de lui, je croyais qu'il cherchait un motif de me punir. Mais en fait il était impressionné.
Il me fit pencher sur le dosseret de sa chaise longue et cracha sur ses doigts, qu'il utilisa ensuite pour lubrifier mon fourreau vaginal, il me baisa ensuite avec furie Lorsqu'il eut fini de me baiser je nettoyais sa bite à pleine bouche, puis il constata :
- Je suis désappointé, c'est vraiment du bon boulot! ..... Demain tu t'occuperas de la chambre et de la lessive! ..... Reviens à la même heure...... Et maintenant rhabille toi et vas-t'en! ...."
Je ne comptais pas m'en tirer à si bon compte, je le quittais après avoir seulement été obligée de lui faire une pipe et de me faire baiser une fois.
Et il semblait qu'il en serait de même le lendemain! .....
En fait si je rassemblais sa lessive et l'emmenais chez moi de toute manière j'y étais en sûreté et seule une grande partie de la journée.
Je suppose que je réagissais comme une petite idiote.
Le lendemain j'arrivais à l'heure convenue, Snake déjeunait à mon arrivée.
Il me dit qu'il allait dormir sur le canapé, je n'avais qu'à faire la lessive et nettoyer sa chambre.
Il me tendit un grand sac de pièces et je lui dis :
- "Bien monsieur, mais je peux emmener votre lessive chez moi et la laver pour rien......"
- "Oui tu pourrais stupide connasse! .... Mais tu vas te rendre à la laverie automatique de Dorchester... Pour cela tu vas enfiler ta tenue de salope, et pendant que tu seras là bas tu ne pourras rien refuser à qui que ce soit! ..... Si un gugusse te met la main au cul, ou te tate les nichons, tu lui souris... S'il te dit de le sucer ou de te pencher en avant pour qu'il te baise, tu fais ce qu'il te dit! .... Je me suis arrangé pour que ta prestations soit surveillée par un bon ami... Je pense que tu sais que tu ne dois en aucun me décevoir! ..... C'est bon? ...."
- "Oui monsieur....." soupirais-je cherchant désespérément à cacher ma déception. Je me dépêchais de gagner sa chambre et je rangeais les assiettes sales dans l'évier, puis je triais le linge à laver, il me semblait impossible que je puisse tout laver en une journée! .....
Je nettoyais la chambre, balayais le plancher, époussetais, ouvrais le lit, retournais le matelas, mais il était aussi dégoûtant que l'envers que sur l'endroit.
Puis je chargeais le linge sale dans ma voiture, j'en avais 3 paniers et 4 sacs de blanchisseurs.
Je me dirigeais vers ma voiture lorsqu'il m'arrêta dans mon élan.
- "Tu aimerais que je dorme bien? .... Tu sais ce qu'il faut faire pour cela! ....."
- "Oui monsieur, que dois je faire pour vous être agréable? ....."
- "Je suis fatigué de te baiser aussi mets toi à genoux et fais moi une pipe! ....."
- "Oui monsieur! ...."
Je fis de mon mieux et ne tardais pas à partir pour la blanchisserie, le goût de son foutre m'imprégnant la bouche et la gorge.
Je me garais et jetais un coup d’œil circulaire, ce n'était vraiment pas le quartier de la ville ou j'aurai choisi de me rendre! .....
Je décidais que le moyen de m'en sortir au plus vite était de prendre plusieurs paniers et sacs à chaque voyage, je savais déjà que j'allais être le principal objet de distractions des chalands.
Si les choses se passaient bien, je pourrais utiliser plusieurs machines en même temps ce qui me permettrait de quitter au plus vite ce lieu.
Je déchargeais le plus grand panier et réussis à remplir 3 machines à laver avec le linge, j'avais amené ma propre lessive, les sels blanchissants et l'adoucisseur j'en chargeais les différentes machines.
Je mis les pièces de monnaies dans le monnayeur et lançais les lavages.
Il y avait 4 personnes dans la laverie, 4 hommes, ils m'observaient attentivement, mais j'étais trop prise par mon boulot pour m'en soucier.
Je m'assis et cherchais à lire un magazine, mais après avoir lu la même phrase à plusieurs reprises, je restais les yeux braqués sur la page attendant la fin du lavage.
Je suppose que c'était inévitable, le quartier où je me trouvais, ma tenue vestimentaire, je me demandais su l'un de ces 4 hommes était le copain de Snake.
Je n'étais sur de rien, j'avais le sentiment d'être testée.
Du coin de l’œil je vis un des hommes s'approcher de moi, il prit place sur la chaise à cote de moi et me demanda :
- "Hey chérie que lis-tu ? ......"
Jusqu'ici rien d'extraordinaire, un gars qui entamait la conversation, juste une question innocente.
- "Ta peau semble douce! ...." me dit-il.
- " T'as de beaux cheveux..... Un joli corps... Une véritable perfection... " et, tendis qu'il me complimentait sa main s'approchait de mes jambes, je ne pouvais que lui sourire.
Pire encore, les trois autres noirs m'entouraient et regardaient leur copain aborder la séduisante rouquine qu'ils se feraient bien.
Et je ne pouvais toujours que leur sourire.
Lorsque la main qui me caressait la jambe atteignit l'ourlet de ma jupe, l'un des spectateurs s'assit de l'autre cote de moi.
Je ne dis rien. Au début il ne faisait que regarder agir son pote qui me caressait la peau nue sous ma jupe, à quelques centimètres de ma chatoune.
Et je ne pouvais toujours que sourire.
Puisque cela paraissait aussi facile, l'homme posté de l'autre coté posa sa main sur mes nibards.
Lorsque je lui souris, il releva ma brassière dénudant mes nichons qu'il entreprit de pincer, de malaxer me meurtrissant les tétons sans vergogne......
Les deux qui ne me molestaient pas encore faisait des commentaires salaces sur mon physique et mon comportement laxiste.
Et je souriais toujours.
Le premier qui s'était occupé de moi me prit mon magazine des mains, puis il releva ma courte jupe, ils poussèrent des oohhh et des aaaah d'enthousiasme à la vue de ma rutilante toison rousse.
Je ne pouvais plus rien feindre, ils savaient tous qu'ils allaient se faire cette salope de rouquine blanche.
Ils m'enlevèrent ma jupe et ma brassière en un clin d’œil.
Puis, je dus m'agenouiller et dès que je me penchais en avant je me retrouvais avec une grosse bite en foufoune et une autre en bouche.
Par chance ils jouirent juste à l'instant ou les machines à laver s'arrêtaient.
Je demandais aux deux autres de me laisser remettre mon linge dans mon panier avant qu'ils ne me sautent à leur tour.
Et une fois qu'ils se furent tous satisfaits dans mes orifices, ils m'entourèrent à nouveau et me prirent en sandwich.
Et je souriais toujours.
Je me débrouillais pour leur demander de m'aider à terminer ma lessive, ce qui fait que j'en eus fini bien plus tôt que je l'avais pensé.
Ils me reprirent alors une fois de plus, puis je rentrais chez Snake.
Je m'appliquais à rentrer discrètement pour ne pas le réveiller.
Mais il était déjà levé.
Il me jeta un oeil et explosa de rire, je dus lui raconter comment cela s'était passé, sans éviter les détails sordides.
Puis, je lui fis une pipe, il jeta un oeil sur sa montre et s'écria :
- "Bordel chérie... Mon copain va être drôlement déçu..... Il était sensé te surveiller pendant encore une heure... BORDEL! .... »
Je pris une douche rapide, me servais d’une serviette et rangeais les autres! ...."
Je fis le lit puis lavais les couverts et assiettes que j'avais ramenés de sa chambre ce matin.
Puis je rinçais ma brassière dont le haut était souillé de sperme, il n'y avait pas de toilettes dames à la laverie.
Il se faisait tard et j'étais pressée de regagner ma maison.
J'attendais que Snake se serve de moi à nouveau mais il téléphonait sans me prêter attention.
Je devais partir rapidement pour préparer le souper et cela commençait à me préoccuper.
Je vis soudain une voiture se ranger à l'extérieur et je jetais un coup d’œil anxieux à Snake.
Il me fit signe d'aller ouvrir la porte.
J'invitais à entrer le couple qui attendait derrière la porte. Je ne les avais jamais vus auparavant.
Ils me mangeaient du regard.
Finalement Snake reposa son téléphone et me révéla que c'était le couple qui était sensé me surveiller à la laverie, il leur dit ce qui s'était passé et ils explosèrent tous trois de rire. Puis la femme s'assit, releva sa jupe et m'intima :
- Viens ma chérie, cela va ta changer du goût de sperme que tu as en bouche! ....."
Je savais que cela arriverait un jour, mais mon Dieu que c'était dur! ......
Je traversais la pièce et m'agenouillais entre ses cuisses, et je commençais à la lécher comme Snake m'avait léché une paire de jours plus tôt me donnant tant de plaisir! .....
Elle semblait apprécier mes caresses linguales.
Je sentis alors son époux s'agenouiller dans mon dos, et tout de suite il me pénétra violemment enfouissant tout de go sa grosse bite au fin fond de mon utérus.
Pourquoi diable ces hommes étaient-ils si violents? ......
Jamais l'un d'un ne me fera l'amour? ..... BIen que je ne tienne pas particulièrement à faire l'amour avec aucun d'entre eux.
J'avais déjà joui de nombreuses fois dans la Blanchisserie automatique.
J'étais fatiguée.
Aussi attendis-je que le couple ait joui et j'ai regardé Snake pour voir s'il m'autorisait à partir.
Il hocha la tête.
Je me ruais dans la salle de bain, m'essuyais la chatte et le visage et me précipitais dans le salon pour enfiler ma jupe et ma brassière, puis je me pressais de rentrer chez moi.
Comme je partais Snake m'intima d'être là le lendemain à la même heure ?
Une fois chez moi je pris une douche rapide puis j'entrepris de préparer le souper.
Il me vint d'un seul coup à l'idée que je n'avais pas vérifié ma boite aux lettres informatique depuis le dernier mail qui m'enjoignait de me rendre chez Snake ce qui m'avait amené à endurer l'une des pires journées de ma vie.
Je gagnais le bureau et allumais l'ordinateur je me figurais à cet instant que le pire était advenu, je m'attendais surtout à trouver des mails d'amis et de la famille.
J'avais reçu plusieurs douzaines de messages.
La plupart s'avérèrent être des spams, d'autres d'amis qui m'envoyaient des blagues, il y en avait deux émanant de Snake.
Je craignais d'en dévoiler le contenu, mais je devais le faire.
J'ouvris le premier, il concernait ma première journée de soumission, il ne contenait que d'horribles photos de moi nue, en train de sucer des bites, et de me faire baiser à couilles rabattues.
J'ouvrais le second message, c'était le même que le précédent en pire.
Il voulait sûrement se moquer de moi en me rappelant que je n'étais qu'une pute à son entière disposition! .....
La soirée se passa rapidement, j'étais si lasse que je dormis comme une bûche.
Une fois Jay repartit à son boulot le lendemain matin, je me douchais rapidement et me tint prête à le recevoir.
Je rinçais les jupes que je pouvais porter les autres jours il ne me restait plus que le harnais de cuir de propre comme haut.
Je l'enfilais et me débrouillais pour dissimuler la plus grande surface de mes nichons en resserrant les sangles qui traversaient mes nibards pour ce faire.
26 novembre 2007
Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)
Avec l'aimable autorisation de l'auteur :
Vulgus (vulgus@hotmail.com)