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Review This Story || Author: Coulybaca

J\'appartiens à Snake désormais

Chapter 7


J'appartiens à Snake désormais Ch 7


I belong to Snake


Coulybaca / Vulgus





    Le reste de la semaine je suis revenue à la routine : j'arrivais le matin, suçais sa bite, il allait se coucher et je faisais le ménage.


Mais je commençais à remarquer que lui sucer la bite commençait à avoir un notable retentissement sur moi.


Je retournais chez moi après avoir nettoyé sa maison, prenais une douche et restais nue.


Je faisais une partie de mon ménage entièrement nue puis j'allais regarder les photos que Snake m'avait fait parvenir.


Tout en regardant les photos je me caressais lascivement, j'avais besoin de jouir !



  Mais ce vendredi arriva quelque chose d'inattendu.


Au début la journée commença comme tous les autres jours, mais une fois que je lui ai taillé sa pipe matinale et nettoyé consciencieusement sa queue, Snake m'interpella :


-         Je veux que tu viennes demain... Dès que ton mari partira pour Atlanta !



  Il me sembla que ma  mâchoire se décrochait.


Comment le savait-il ?


Comment pouvait-il bien l'avoir appris ?


Je n'en avais pas dit un mot !


Et ce n'était sûrement pas Jay qui l'avait renseigné !



  Snake explosa de rire et ajouta :


-         Ferme ta bouche chérie, t'as l'air stupide, on dirait une carpe !


-         Com...  Comment... Comment le sais-tu ?


-         Ce n'est pas ton problème petite chienne ! ... Et maintenant mets-toi au boulot !


-         Oui maître !



  -         Et au fait, lorsque tu viendras demain matin apporte tes tenues de pute et ta brosse à dents ! .. Tu séjourneras chez moi un bon moment !



  Oh mon Dieu ! Pensais-je éperdue, ce ne peut pas être vrai.


Je réagissais en mon fort intérieur, mais je ne pensais pas, absolument pas à protester.


J'avais atteint le point où je ne pouvais plus marchander avec Snake, je ne pouvais plus qu'accepter ses dictats.


Mais une semaine chez lui..... 


Sans pouvoir retourner chez moi le soir ! ....


Mon cœur battait la chamade à cette idée !


J'étais totalement paniquée, désespérée, sans défense aucune.


Je savais que de toute manière je n'avais pas le choix.


Je me retrouvais devant la porte, toute habillée, je ne me rappelais même pas que je venais de faire le ménage.



  Je me ruais dans ma voiture et démarrais sur les chapeaux de roues.


Je rentrais chez moi, me déshabillais et commençait mon ménage dans cette tenue.



  Je me versais un verre du vin m'assis cherchant à me  décontracter.


J'essayais d'imaginer à quoi il ressemblerait cette période où je serai totalement sous le de ce monstre  24 heures sur 24 heures, et ce pendant huit jours.



  Je n'y parvenais pas, ou je m'y refusais.


Les images qui me venaient en tête m'étaient insupportables.


Je bus mon vin et me postais devant mon ordinateur.


Il y avait encore plus de photos envoyées par Snake, et même un court clip.


Je regardais plusieurs fois le clip puis je m'intéressais aux photos, puis je visionnais à nouveau le petit film à plusieurs reprises.


Tandis que je le regardais, je promenais mon doigt de bas en haut dans ma fentine, je constatais à ma grande surprise que ma chatoune était détrempée.


Je me ruais dans la salle de bain pour y prendre une serviette pour nettoyer ma chaise.


Puis j'étendais la serviette sur mon siège et m'assis dessus.


Et je repris mes caresses


Oh mon Dieu quel genre de femme étais-je devenue ?



  Je finis par éteindre l'ordinateur je m'essuyais la chagatte avec la serviette que je balançais ensuite dans la lingerie.


Je sortis alors la valise de mon mari et entrepris de préparer ses bagages.


Je posais la valise près de la porte du garage, puis je préparais le souper.



  Je ne parvenais pas à enlever mes mains du corps de Jay lorsqu'il rentra à la maison.


Je le touchais constamment, l'embrassais, posais ma main sur ses épaules, j'avais du mal à me rappeler que je devais être forte et de ne pas pleurer.


Après le souper nous avons regardé les informations, puis lut un chapitre de la bible, nous avons fait nos prières et nous sommes allés nous coucher.


Nous avons fait l'amour très tendrement.


Ce fut très doux et bien fait, mais je n'eus pas d'orgasme.


Jay me dit que je n'avais nul besoin de me lever tôt le lendemain pour l'emmener à son avion, une limousine viendrait le prendre à domicile de façon à ce que je n'aie pas à assurer le transport jusqu'à l'aéroport.



  Je l'entendis cependant se préparer au petit matin, je me levais pour m'assurer qu'il n'oubliait rien et l'embrassais pour lui dire au revoir.



  La limousine l'emporta et je préparais mon baise en ville, mes fringues de pute ne prenaient pas excessivement de place, je les bourrais dan mon sac, à l'exception de la jupe et du haut que je devais porter ce matin. J'y déposais aussi ma brosse à dents, mon déodorant et un tube de rouge à lèvres.


Puis je balançais le sac sur le siège passager et je me rendais à la maison de Snake.



  Je me déshabillais dans l'entrée.



  Snake m'avait entendu, il m'appela de sa chambre.


-         Je vais faire un petit somme, fais le ménage et assure-toi que l'arrière court est propre...   J'y organise un barbecue tout à l'heure et enfile ça !


Il prit dans sa table de nuit et me la lança.



  C'était un collier clouté de chienne il était inscrit en grand  "SALOPE" sur la plaque chromée.


Je sortais à reculons de la chambre, me disant que je l'enfilerais dans la salle de bain en me regardant dans le miroir.



  Snake m'arrêta, il voulait voir ce que cela donnait.


Je plaçais le collier autour de mon cou et le bouclais. , il me fit tourner sur moi-même, il m'imposa de placer la plaque sous mon menton, une fois satisfait, il me conseilla de bouger mon gros cul et de me mettre au boulot, et il se retourna pour dormir.



  Je gagnais la salle de bain pour me regarder dans le miroir. J'aurais du me sentir humiliée, furieuse, dégradée mais, aussi étrange que cela puise paraître, je pensais seulement que cela me rendait très excitante !


Je n'aurai pas voulu qu'on me voie le porter, mais j'aimais bien le porter !



  Je nettoyais la maison, m'habillais et sortis pour ranger l'arrière cour.


Je rangeais la tondeuse à gazon dans le hangar et vidais les cendres du grill à barbecue et le remplit de briquettes de charbon de bois que je trouvais dans un sac en carton.



  Je rentrais dans la maison, me déshabillais et regardais ce qui se trouvait dans le réfrigérateur.


Je vis plusieurs paquets de bœuf et de charcuterie, je les sortis et préparait un grand plat de charcuterie.


Je hachais quelques oignons. Je fis tout ce que je pus pour préparer le repas.



  Tout au début de l'après-midi Le couple qui nous avait rendu visite le jour de la blanchisserie se pointa.


Apparemment elle était sensée superviser les préparatifs, je lui montrais ce que j'avais préparé, elle sembla satisfaite. Elle se tourna vers moi et me félicita :


-         T'as fait du bon boulot, merci ! ... Il te reste une chose à faire, viens avec moi !



  Elle m'entraîna au salon s'assit et écarta les cuisses en grand et me sourit.


Je tombais à genoux entre ses jambes et commençais à l'embrasser.



  Je débutais par ses genoux et remontais le long de ses cuisses, je retroussais le bas de sa jupe et continuais mon chemin.


Elle se redressa et remonta sa jupe me livrant à large accès à son intimité.


Elle portait un minuscule thong qui ne couvrait guère que son clito et les lèvres de sa chatoune.



  J'embrassais et léchais tout ce qui débordait de la mince bande noire d'étoffe.


Alors que je l'embrassais et la léchais avidement je sentais sa chatte s'inonder de cyprine, je soufflais doucement sur sa fentine.


Je savourais avec bonheur le goût salé de sa cramouille embrasée.


Elle gémissait et se tortillait pressant sa moule contre mes lèvres alors que j'écartais la bande formant le fond de son string, toute surprise je réalisais que j'adorais ce que je faisais !



  Lui donner autant de plaisir m'excitait comme une folle !


Je continuais à la lécher et la sucer tandis qu'elle rebondissait d'orgasme en orgasme jusqu'à ce que, épuisée, elle repousse gentiment ma tête.


Alors que je me redressais j'entendis une voix mâle au-dessus de moi rectifier :


-         Elle t'a menti, en fait, tu as deux choses à faire !



  Il me releva et me courba au-dessus de la chaise sur laquelle il était assis, je le sentis enfourner sa mentule dans ma chatoune, je lui fis bon accueil !


J'étais prête !


Il me baisait âprement lorsque je sentis la femme qui s'était postée à nos cotés pincer sévèrement mes tétons et les étirer.



  Un moment donné elle étirait mon mamelon de plus de 2 cm lorsqu'elle confia à mon suborneur :


-         Bordel, c'est une honte que Snake ne veuille pas qu'on lui pose des anneaux, ce serait parfait !



  Je me mis à jouir copieusement en l'entendant dire cela, les contractions de mes sphincters génitaux trayaient la bite de mon "amant" qui ne tarda pas à coïter à son tour.


Je me redressais alors et lui nettoyais consciencieusement la bite en petite ménagère dévouée.



  -         Merde alors ! ..... Je suis à nouveau excitée comme un poux après vous avoir regardé copuler ! .... S'exclama la femme


-         Ce sera pour plus tard ! ..... Allez ma fille viens t'occuper du grill.


Je me levais et me préparais à remettre mes vêtements


-         Laisse ça, tu n'en as nul besoin...   allons-y ! .....



  Pourquoi étais-je la seule qui n'avait jamais besoin d'être vêtue ?



  Nous sommes sortis et je me contentais de regarder tandis qu'elle s'occupait de préparer le grill.


Puis nous sommes rentrés pour déménager quelques tables et préparer la table d'hôte à l'extérieur.


Lorsque nous sommes rentrés dans la maison Snake était levé et buvait déjà de la bière.


Je suivais docilement la femme et l'aidais à transporter le matériel nécessaire au barbecue.


Le mieux c'est que bien que je me sois fait baiser ou avais eu des rapports sexuels avec tant d'amis et de connaissance de Snake, je ne connaissais que les noms de Snake, Mickey, Larry et Lisa, alors que tous ces gens m'appelaient "chienne" quand ils s'adressaient à moi.



  Bientôt les invités commencèrent à arriver, surtout des  motards.


On m'avait dit de disposer quelques glacières ça et là, ils furent remplis avec la bière et la glace.


Je n'irai pas jusqu'à dire que je me sentais bien entièrement nue au cœur de cette foule, mais j'en avais maintenant pris l'habitude.



  Pour l'instant, la plupart du temps des gens m'ignoraient lorsque je passais à leur portée, ils buvaient en plaisantant lourdement, il y avait surtout des hommes.



  Lorsque l'obscurité commença à tomber, j'estimais qu'il y avait environ 25 hommes et peut être 5 ou 6 femmes.


Il n'y avait pas grand différence entre les hommes et les femmes, nombre de ces hommes avaient les cheveux aussi longs que des femmes !


Les femmes plaisantaient et riaient aussi forts que des hommes, personne ne commentait le fait que je sois nue au milieu d'eux !



  J'allais ouvrir une nouvelle cannette de bière lorsque Snake m'appela, il pointa son doigt sur un groupe de ses amis assis autour d'une table de bois massif au milieu de l'arrière-cour.


Il me dit qu'il n'y avait pas de musique pendant cette fête parce qu'à chaque fois elle avait été trop forte ce qui avait déclenché l'arrivée des flics, cependant ses copains adoraient la danse, aussi devais-je monter sur leur table et danser pour eux pendant un bon moment.



  Je vis que tout le monde me regardait épiant ma réaction, j'avais l'impression qu'ils espéraient que j'allais me cabrer, mais je n'étais pas stupide, je ne savais pas comment j'allais m'y prendre mais de toute manière je ne refuserais pas, ni même protesterais, j'en connaissais le risque.



  Lorsque j'approchais de leur table, deux des invités m'aidèrent à grimper dessus, ils explorèrent en détail mon corps ce faisant.


Je commençais à fredonner un air de danse dans ma tête  sur lequel je cherchais à danser.


Je n'avais aucune expérience de danseuse nue, aussi cela me paraissait-il difficile de m'exécuter, mais personne ne se plaignait de ma performance.


Une grappe de spectateurs approchèrent leurs chaises et me regardèrent évoluer pendant un bon moment.



  La soirée se faisait longue, cela faisait une bonne heure que je dansais et j'étais épuisée, la plupart des femmes étaient parties, je n'en voyais plus que deux autour de la table.


Lise et la femme que j'avais aidée à préparer la nourriture, je remarquais 4 hommes qui sortaient un  banc du patio.


Je supposais que la table sur laquelle je dansais provenait de la seconde chambre qui était toujours fermée à clef.



  Ils posèrent le banc vers le banc tout près de moi et me saisirent pour m'aider à descendre de la table.


Je leur en fus reconnaissante jusqu'à l'instant où je compris pourquoi ils m'avaient descendue.


Je fus immédiatement disposée à plat dos sur le banc.


Une sangle m'entourait la taille me rivant au banc, mon collier fut attaché à des anneaux de chaque coté du banc.


Mes jambes et mes bras étaient fruits, mais je ne pouvais pas bouger.



  Pendant qu'on m'installait sur le banc, un des motards avait amené un écran télé et un magnétoscope qui permettait à tous de visionner les images de mon premier viol.


Il me montrait pleurant en me déshabillant, puis suçant la bite de Snake tout en me masturbant puis enfin ma première séance de baise sur le plancher souillé du salon.



  Dès le début du film les hommes s'approchèrent du banc me baisant au passage.


D'abord un de temps en temps, ils se servaient de moi comme d'une matrice tout en regardant le film.


Parfois l'un d'eux ne voulait pas attendre qu'un autre en ait terminé, il m'enfournait alors sa bite en bouche.



Après une première série de baisouillage, une des femmes vint m'essuyer avec une serviette humide.


Mais déjà un autre amateur me grimpait et giclait profondément enfoncé dans ma chatoune dégorgeant de foutre.


Quelques-uns uns me levèrent les jambes repoussant mes genoux à hauteur de mon estomac et m'enculèrent sauvagement, mais la plupart d'entre eux me prirent en chatte.


Apparemment les 25 mâles me baisèrent au moins une fois, j'en reconnus plusieurs qui me possédèrent à deux reprises.



  Je commençais à avoir vraiment mal, mais quelque temps plus tard, la séance reprit, j'étais toute engourdie, je ne prêtais aucune attention à ce qui se passait autour de moi.


Je remarquais cependant qu'ils avaient changé de DVD et que celui ci montrait le gang-bang que j'avais subi au sex-shop, puis Larry m'enculant sauvagement dans l'arrière salle Snake et Mickey l'imitant dans la foulée alors que je gisais inconsciente.



  Cette nuit n'en finissait plus, peu à peu les gars partirent où s'évanouirent dans la nature, je demeurais allongée à plat dos sur le banc toute la nuit.


Quelques gars allèrent pisser su fond de l'arrière cour, ils en profitèrent pour me baiser à couilles rabattues avant de se recoucher.



  On ne me libéra que vers 7 heures, j'étais couverte de foutre, des flots de semence s'écoulaient le long de mes cuisses, le sperme avait formé des croûtes blanchâtres en séchant sur mes nibards et mon bas ventre, mes cheveux étaient poisseux.



  Snake m'ordonna de ne pas bouger, il se rua dans le hangar et en revint avec un  tuyau d'arrosage il l'accrocha à un anneau et ouvrit la vanne une fois qu'il m'eut postée devant la clôture.


Puis il nettoya au jet le plus gros des salissures qui souillaient mon corps, mes cheveux étaient toujours couverts de foutre et il restait quelques tache de foutre séché  ça et là sur mon corps et mon visage.



  Une fois satisfait, il m'intima de me sécher avant de rentrer prendre une douche.


Je me plaçais dans les rayons de soleil et me servis de mes mains pour essorer un peu d'eau, il commençait à faire chaud et je fus sèche en un rien de temps.



  Je me précipitais sous la douche, en chemin je fus surprise de voir qu'il restait encore de nombreuses personnes, surprise et consternée.


Ma chagatte était si douloureuse que marcher me faisait souffrir, je crois que je ne pourrais pas supporter de nouveaux abus.



  Finalement j'entendis prononcer le nom de la jeune bon chic bon genre à qui j'avais brouté le gazon.


Elle s'appelait Beth, je n'osais pas l'appeler par son nom pour autant. De peur de provoquer la fureur de Snake je n'appelais personne par leur nom, c'était plus sûr.



  Beth me rejoignit dans la salle de bain alors que je me séchais et elle me mena à la chambre de Snake. Elle me dit de m'allonger sur le dos et d'écarter les cuisses en grand.


Je lui obéis promptement sans une plainte,  je ne savais pas ce qu'elle avait l'intention de me faire mais j'étais si endolorie que je priais pour qu'elle épargne ma chatoune.



  Mais elle ne m'avait pas emmené dans la chambre pour avoir des rapports sexuels, en fait, elle se saisit d'un pot  d'onguent, je ne sais pas ce dont il s'agissait, le pot ne comportait aucune étiquette.


Elle commença à étaler la crème sur et dans ma cramouille, puis sur et dans mon anus, la pommade s'avéra rafraîchissante et calmante.



  Tandis qu'elle étalait le baume, elle me sourit et me parla gentiment comme à une personne.


-         Rude nuit ma fille ! ..... Me demanda-t-elle.


-         Oh oui madame...  Lui répondis-je reconnaissante de m'adresser si aimablement la parole.



  -         Appelle-moi Beth..... me dit-elle.


-         Je veux te faciliter les choses pour le reste de la journée ! .... J'ai discuté avec Snake et je lui ai dit que tu avais besoin de quelques heures pour récupérer...  Ce n'est pas terminé, il reste une bonne vingtaine de mecs dans la maison et ils seront là, la plus grande partie de la journée et probablement ce soir jusque minuit.....


-         Je pense qu'à la nuit tombée Snake te fera baiser par ses copains et que tu devras les sucer tour à tour ! ..... Il adore se montrer un excellent hôte ! .....    Mais les choses risquent de dégénérer au cours de la nuit... 


-         Je sais que cela fait très mal ! ..... Beaucoup d'entre eux adoreront te faire souffrir! ....  A mon avis t'as vraiment choisi le mauvais gars avec qui t'accoupler si tu veux mon avis ! ....


-         Rappelle-toi surtout que quoi qu'on te fasse, tu ne dois jamais tu ne devras jamais le décevoir ! .....



  -         Je ne l'ai pas choisi, il me fait chanter, je suis une femme mariée et heureuse en mariage, une fidèle paroissienne.


Je ne savais même pas que ce qu'il m'a fait endurer puisse exister avant qu'il ne me force à subir des choses dégradantes.



  Cela sembla déstabiliser encore un peu plus Beth, elle répliqua :


-         Eh merde alors.....  Chérie, tu as intérêt à t'appliquer.....  Il a déjà fait chanter d'autres filles auparavant.....  Il cherche à les briser.....  Il les pousse à bout et si elle refuse de faire quoi que ce soit, il leur réserve un sort abominable... Certaines de ces filles.....  Bon, écoute-moi bien, tu dois toujours te rappeler de ne jamais refuser quoi que ce soit ! .....



J'ai toujours eu peur de Snake, mais cette fois je paniquais, oh mon Dieu, que pourrais-je bien faire pour me sortir de cette galère ? ....


Je n'avais pas le choix, je devais lui obéir en tout ! .....



  Beth referma le pot de crème, étendit un drap sur moi et se leva, elle m'embrassa gentiment sur le front et sortit de la chambre en refermant la porte, elle avait un regard apeuré en me regardant.



  Je me débrouillais pour dormir un peu et je me réveillais vers 20 heures lorsque Snake pénétra dans la chambre, visiblement il avait bu mais il semblait encore se contrôler.


Il me fit lever et me roula un patin, son haleine puait l'alcool et le tabac, c'était dégoûtant, mais il était plus prudent d'accepter docilement ses baisers.


Je l'embrassais en retour en repensant à ce que m'avait dit Beth un peu plus tôt.



  Il me poussa hors de la chambre et nous sommes entrés dans le salon, il ne restait plus qu'une douzaine de mâles qui entouraient Beth.


Ils regardaient la télé se réjouissant de mes tourments, ils sourirent en me voyant entrer dans la salle Snake leur dit alors :


-         Pas encore les gars, elle doit d'abord faire du ménage ! .....


Et il m'enjoignit de nettoyer la pièce. Le sol était jonché de canettes, d'assiettes, de verres et de cendriers débordant de cendres.



  Je commençais les ménage, ignorant les mains fouineuses qui exploraient mes charmes alors que je circulais entre ces hommes.


Je faisais de mon mieux pour ne pas les regarder, je braquais cependant les yeux sur Beth, cette épreuve était d'autant plus humiliante qu'elle se déroulait sous les yeux d'une autre femme.


Elle me sourit affectueusement, elle affichait sa sympathie en me regardant.



  La cuisine était aussi sale que le premier jour, je commençais à la ranger, jusqu'à ce que Snake me rappela dans le salon, il me tendit de la monnaie et m'ordonna :


-         J'ai commandé une paire de pizzas, lorsque le livreur arrivera, fais-le entrer, tu prendras les pizzas, tu le paieras, puis tu te débrouilleras pour lui offrir un bon pourboire.....  Cela ne l'emballera peut-être pas de se faire sucer sous nos yeux, à toi de le convaincre ! ....  Des questions salope ? .....



  -         Non-maître...


Je ne pouvais pas répondre autrement sous peine de le courroucer, je ne pouvais rien lui refuser sinon......



  Quelques minutes plus tard, le livreur se présentait à la porte d'entrée. Je le fis entrer et frémis en le reconnaissant, c'était l'adolescent de tout juste 18 ans qui me livrait habituellement mes pizzas à la maison ! ....


Il me reconnut tout de suite, je le fis entrer et pris les pizzas que je posais sur la table. Je lui tendis la monnaie et lui demandais s'il voulait que je lui taille une pipe  comme pourboire


Il me dit qu'il était pressé, qu'il n'avait pas le temps, il était terriblement nerveux.


Finalement je posais mon bras autour de son cou et l'embrassais en lui susurrant que je le suppliais de me laisser faire.



  Il hocha la tête et reconnaissante je me laissais tomber à genoux et baissais son short et son caleçon sur ses genoux, sa queue me surprit agréablement.


Il était jeune et menu, mais sa bite était presque aussi grosse que celle de Snake.



  J’embrassais et léchais pendant un bon moment son appendice avant de l'emboucher tendrement l'absorbant en totalité, accueillant son gland mafflu dans mon arrière-gorge.


Les spectateurs me regardaient attentivement faire, ils s'étaient tus tout à ma performance.


Le jeune gars était sidéré de mon habileté, je pensais qu'il était sur le point de gicler, il me saisit la tête, il grognait sourdement et 3 ou 4 minutes plus tard il m'injectait des flots de foutre dans l'arrière-gorge.


Je nettoyais obligeamment sa bite avant de remonter son caleçon et son short, alors que je rebouclais sa ceinture, il me remercia :


-         Mon Dieu, grand merci madame Anderson, c'était le meilleur pourboire que j'ai jamais reçu ! .....


Je levais les yeux vers lui et vis le regard d'adoration avec lequel il me couvait, j'en étais gênée bien que cela me réconforta de pouvoir éveiller un tel sentiment chez un jeune homme vraisemblablement puceau à en croire ses réactions! ...


Je ne pouvais m'empêcher à ce qui arriverait la prochaine fois que je commanderai une pizza à mon domicile.



  Dès qu'il fut parti, ma nuit prit un virage plus difficile, agenouillée je dus me mettre à sucer toutes les bites qui passaient à ma portée.


Certain qui se tenaient de l'autre coté de la salle n'en pouvaient plus d'attendre, ils se mirent à me prendre en chatte alors que je suçais leurs copains. Je me demandais bien en quoi consistait la pommade que Beth m'avait appliquée, à ma grande surprise ma chatte ne me faisait plus souffrir.



  Je servis de jouet à tout le monde, et même à Beth longtemps après minuit. Il y aurait quelques motards aux traits tirés le lendemain à leur boulot.



  Enfin il ne resta plus que Snake et moi.


Il m'enjoignit de me laver puis de le rejoindre au lit, il était suffisamment clément pour remettre le nettoyage de la maison au lendemain matin.



  Je me lavais minutieusement et le rejoignais dans son lit, j'étais épuisée, malheureusement Snake avait l'habitude de veiller la nuit et de dormir le matin, aussi dus-je lui tailler des pipes et baiser une paire d'heures de plus.


Finalement c'est vers 4 heures du matin qu'il se lova contre moi et s'endormit.


J'étais si éreintée qu'en dépit de ce que j'avais subi, je dormais comme un bébé ! .....



  Je me réveillais vers midi, Snake ronflait encore aussi me levais-je précautionneusement pour gagner la salle de bain.


Je pense honnêtement que ses invités avaient mis le bordel exprès, je ne pense pas qu'il soit possible de foutre un tel bazar accidentellement.


Une fois que j'eus utilisé les toilettes et brossé les dents, je sortis mes outils de ménage et nettoyais la salle de bain. Elle était dégueulasse.



  Le salon n'était pas aussi sale, je l'avais déjà un peu nettoyé cette nuit, je me débrouillais pour le décrasser rapidement.


Puis, je passais à la cuisine. Toutes les assiettes étaient sales, certaines étaient encore dans la cour mais la plupart étaient amoncelées sur le plan de travail et la table.


Je me demandais si je ne ferai pas mieux de demander à Jay de lui offrir un lave-vaisselle.


Bien sur c'était une plaisanterie mais je ne savais pas si je devais en rire ou en pleurer.



  J'avais presque fini dans la cuisine quand Snake se leva.


Tandis qu'il prenait sa douche je préparais du café. Puis je sortais dans l'arrière cour et commençais à la ranger.


Lorsque je retournais dans la maison, Snake venait de s'asseoir pour déguster son café, je lui demandais s'il voulait quelque chose à manger, il me demanda du bacon et des oeufs.



  J'approuvais et me dirigeais vers le réfrigérateur. On aurait dit qu'une bande de vautours s'était abattu sur le malheureux frigidaire, il ne restait que quelques pickles et u tube de mayonnaise.



  -         Maître, il faudrait que j'aille jusque l'épicerie, le frigo est vide ! .....


Snake y réfléchit quelques instants puis me conseilla de traverser la route pour demander à monsieur Steadman s'il pouvait nous prêter un peu de nourriture.



  Comme toujours j'approuvais, j'enfilais ma courte  jupe et mon haut provocant et je traversais vivement la rue.


Lorsque monsieur Steadman vint m'ouvrir, je lui demandais ce dont j'avais besoin, lui demandant s'il pouvait m'avancer ces articles le temps que je me rende à l'épicerie. , il me rétorqua :


-         Bien sûr, sans problème, entre donc ! ....


Toutefois dès que je fus entrée, il m'apparut qu'i y avait un petit problème, je savais que j'allais devoir prendre soin de sa petite bite amollie avant quoi que ce soit, je m'empressais de la satisfaire, puis je pris la nourriture qu'il me tendait et retournais précipitamment chez Snake.



  -         Par le diable, pourquoi as-tu été si longue  ? .....


-         Je suis désolée maître, j'ai d'abord du le sucer ! ....


Snake éclata de rire et s'esclaffa :


-         Quel vieux salaud ! ....


Je lui préparais un rapide petit déjeuner, il m'autorisa gentiment à siroter une tasse de café.


Tandis qu'il se restaurait, je repris mon ménage, puis il  m'ordonna de me changer et d'enfiler la petite combinaison de ma garde robe de pute.


J'allais me changer et revins deux minutes plus tard. Il ne fallait pas bien longtemps pour se défaire de ma tenue si succincte.


Snake m'ordonna de le suivre, nous avons  sortis et sommes montés dans sa camionnette.


Il m'emmena dans l'épicerie où je faisais habituellement mes courses, beaucoup de gens me connaissaient.


J'aurai voulu le supplier de nous rendre ailleurs, mais je savais que c'est exprès que nous étions venus ici.


Nous étions passés devant deux magasins avant qu'il choisisse celui-ci.


Le regard apeuré de Bath était gravé dans mon esprit.


-         Surtout ne déçois pas Snake ! .....


Je savais que je ne devais rien faire qui risque de lui déplaire ! ......



  Nous sommes entrés et Snake me donna le chariot à pousser.


Nous avons marché au travers des allées pendant quelques minutes pour qu'il puisse vérifier à quel point mes charmes étaient exposés alors que bras fléchis, je poussais mon caddy.


Il marcha à mes cotés et suivit ma raie culière d'un doigt fureteur.


-         Sens-tu ma caresse chienne ! ..


Je hochais la tête, et il poursuivit :


-         J'ai enfoncé le tissu de ta robe dans ton entrefesses pour que tout le monde puisse savourer le détail de tes formes ! ....


Je n'y pouvais rien, je dus me résoudre à évoluer ainsi accoutrée.



  Alors que nous déambulions, il désignait du doigt les articles que je devais prendre.


A chaque fois je devais m'étendre pour les attraper, j'étais consciente d'exposer ma croupe aux yeux de tous, j'étais tout aussi consciente du regard des gens posés sur mes appâts culiers.


J'avais remarqué qu'un des clients nous suivait à courte distance, je connaissais ce gaillard, il se nommait Brett, il m'avait souvent aidée à charger mes achats dans ma voiture, je ne connaissais pas son âge mais il devait tout juste être majeur ! ......



Le temps que nous gagnions la section ménager, un autre jeune nous suivait.


Beaucoup de gens avaient pu détailler mes charmes alors que nous déambulions dans le magasin.


Snake faisait bien attention de me faire courber et m'étendre dès que quelqu'un se trouvait en bonne position pour reluquer mes appâts intimes.


Mais le pire c'était ces deux jeunes gars qui m'épiaient savourant avec délice mes exhibitions répétées.


Enfin nous avons gagné la caisse, nos courses terminées.


"Coup de chance", Brett se dévouait pour empaqueter mes achats, je ne saurai dire des nos deux visages lequel était le pus rouge.



  Il poussa notre caddy hors de l'épicerie et me regarda ranger mes achats dans le coffre de la voiture sous l’œil goguenard de Snake. Chaque fois que je m'étendais pour poser un sac au fond du coffre, ma courte combinaison remontait, dévoilant ma croupe en entier.



  Lorsque j'en eus fini, Snake intervint s'adressant à Brett :


-         Je sais que vous ne devez pas accepter de pourboire des clients, mais aimerais-tu que madame te remercie de façon spéciale ! .....


Il ouvrit la  portière passager de la camionnette et me repoussa sur le siège, jambes posées au sol.


Puis il me tapota les fesses en commentant :


-         Elle a vraiment un beau cul ! .....  Tu peux te la faire mon gars ! ......



  Cette fois c'en était trop, je me mis à pleurnicher.


Je jetais un oeil par-dessus mon épaule vers Snake et secouais la tête désespérée en lui murmurant :


-         Non, Snake..... Je vous en prie pas ça...  Ne m'obligez pas à......



Le visage de Snake afficha alors un rictus terrifiant, je compris que je venais de profondément lui déplaire.


Je réalisais, alors que Brett me pénétrait doucement, que non seulement je l'avais appelé par son surnom, mais que e venais de prononcer les paroles prohibées ! .....  On ne devait jamais rien refuser à Snake ! .....



  Brett éjacula rapidement dans ma chatte accueillante, Snake m'ordonna de nettoyer sa bite.


Lorsque je me relevais Brett remarqua soudain l'inscription sur mon collier de chien.


"Salope".


-         Joli surnom madame Anderson...   Quelle surprise de vous si gentille avec moi ! .....



  Snake prit le chemin du retour sans dire un mot.


Je cherchais à m'excuser, je lui demandais la permission de parler, il se contenta de me jeter un regard torve.


J'avais peur auparavant, mais maintenant j'étais littéralement terrifiée ! .....



  Dès rentrés, Snake me fit décharger nos achats les posant dans le séjour.


Tandis que je travaillais, il donna plusieurs coups de fil.


Lorsque j'en eus terminé, je sortis du salon et lui demandais à nouveau la permission de m'excuser.


Il m'opposa un sourire aussi cynique que menaçant ! ....



  Une demi-heure plus tard Mickey se pointa devant la porte, nous attendant dans sa camionnette, Snake me traîna derrière lui et me poussa au milieu du siège passager. Personne ne parlait.



  Mickey nous emmenait vers la base militaire aux frontières de la ville.


Je pensais que nous allions nous rendre dans la base, mais il bifurqua à droite juste devant la grille d'entrée et s'arrêta devant une vaste vieille maison.



  Ils descendirent, Snake me tirait toujours derrière lui. Snake frappa à la porte, une minuscule femme l'ouvrit.


Elle ne devait pas mesurer plus d'1, 55 m, elle devait avoir 35 à 40 ans, c'était difficile à dire.


Lorsqu'elle vit qu'il s'agissait de Snake, son sourire se ferma, mais elle s'effaça nous permettant d'entrer.



  Je jetais un long coup d’œil circulaire et je vis s'ouvrir devant moi plusieurs couloirs bordés de nombreuses portes.


L'étage était aménagé à l'identique. L'entrée était constituée d'une vaste salle meublée de nombreuses chaises.


Une demi-douzaine de femmes vêtues de baby-dolls où même en sous-vêtements étaient assises en demi-cercle.


Elles nous regardèrent fixement à notre entrée, elles détournèrent rapidement le regard à la vue de Snake.



  La petite femme s'avança vers moi et m'informa :


-         On m'appelle Mamma...  Tu peux m'appeler ainsi...  Et maintenant accordes moi une minute.....  Il faut qu'on ait un petit entretien ! .....



  On prit un des couloirs qui nous amena dans une petite stalle meublée d'un petit lit pouilleux et d'un lavabo.


Elle me fit asseoir de façon à ce que nos regards soient au même niveau, puis elle entama rapidement :


-         Ma fille, je ne sais pas ce que tu as fait, mais t'a sûrement salement merdé ! .....  Snake est fou de colère ! ....  Il t’a amenée ici pour qu'on te donne une bonne leçon ! .....  Sais-tu où tu te trouves ? .....


J'avais bien des soupçons, mais je secouais négativement la tête.



  -         C'est un bordel ! .... Me révéla-t-elle en fait.


-         Comme tu le sais de l'autre coté de cette grille se trouve une importante base militaire, et aujourd’hui c'est le jour de paye, pendant les deux jours à venir ce sera l'endroit le plus actif de la ville ! .....  Snake veut vendre ton cul pendant ces deux jours ! .....



  -         Cela veut dire un tour complet d'horloge à sucer des clients et à te faire baiser ! ......  Il m'a suggéré de te ligoter sur un lit pour que tous ceux qui veulent de toi te sautent à leur guise, qu'ils te fassent tout ce qu'ils veulent ! .....  Je vais pourtant t'offrir le choix..... Bien que je le prenne sur moi..... 


-         Si tu le préfères, tu peux te joindre aux autres filles et accueillir avec elles les clients dans le hall d'entrée pour les inviter à prendre du bon temps ! .....  Ce sera sûrement moins violent ! ......  A toi de choisir ! .....  Si tu choisis cette voie plus facile tu pourras, te rafraîchir et te détendre les jambes entre deux clients ! ......


Je sentais déjà l'étreinte d'une sangle qu'on enroulait autour de mon buste alors que "Mamma" m'expliquait la situation.


Le sang me monta à la tête alors que je pensais m'évanouir.  Elle comprit que j'étais en plaine détresse, mais visiblement elle ne voulait pas en tenir compte, cela risquait trop d'influer sur sa propre situation.



  Elle me laissa un temps de réflexion, et comme je ne me décidais, elle tendit la main pour attraper des chaînes posées sous le lit.


-         Non, attendez.....  Je ferai comme vous dites ! ....  Je vous en prie ne me ligotez pas sur ce lit ! .....



  -         C'est d'accord, lève toi et donne-moi ta petite combinaison ! .....


Elle lança mon seul vêtement sur une petite étagère sous le lavabo et m'entraîna hors de la chambrette. Elle me montra la salle de bain, puis nous sommes retournées dans le hall.



  Snake et Mickey assis au milieu des filles sirotaient une bière en flirtant avec les prostituées. En me voyant revenir, ils me jetèrent un coup d’œil menaçant puis m'ignorèrent.


Bien qu'il soit encore tôt dans l'après-midi, des jeunes gens se manifestaient déjà.


Ils arrivaient par deux, parfois seuls, parfois en groupes constitués de plusieurs individus, mais le plus souvent par deux, et très souvent à peine majeurs.



  Je n'étais que depuis deux trois minutes dans l'entrée lorsque la porte s'ouvrit sur de jeunes clients. Ils entrèrent et toisèrent les filles, nous nous étions mises en ligne, ils inspectèrent nos charmes, firent leur choix, payèrent Mamma et nous entraînèrent vers nos chambrettes.



  J'essayais de me comporter gentiment avec eux, d'être amicale.


Ces jeunes gens ne pouvaient pas savoir que j'étais ici contre ma volonté.


Le premier qui me sélectionna se déshabilla rapidement et me tendit une capote.


Je m'agenouillais et suçais sa bite pendant une bonne minute pour la raidir suffisamment pour lui enfiler facilement sa capote.


C'était assez difficile pour cette première fois, je n'avais jamais fait cela auparavant, je n'en avais jamais vu en fait.


Mais, une fois le sachet ouvert je compris facilement comment faire. Je m'allongeais à plat dos et le jeune homme m'enfourcha impatiemment.



  Il jouit tout de suite, j'étais désolée pour lui, je ne savais pas combien il avait déboursé pour me sauter, mais cela avait été trop vite.


Cela n'avait pas duré plus longtemps que le temps de lui enfiler la capote sur sa bite tendue.



  Il grogna et me remercia aimablement :


-         Merci madame.....


Je posais mes bras autour de son cou et lui murmurait :


-         Ne le dis à personne, mais aimerais-tu recommencer ?



  Son visage s'éclaira et il m'embrassa gentiment.


Et affichant un charmant sourire il me rétorqua :


-         Je suis désolé madame,  je sais que les femmes comme vous n'aiment pas être embrassées. Il était si doux et si gentil que je le serrais dans mes bras et l'embrassais passionnément tandis qu'il récidivait.



Lorsqu'il jouit de nouveau, après bien plus de temps que la première fois, je roulais la capote pour la retirer de sa jolie petite bite, je ne pus résister, je me penchais sur son ventre et la nettoyais d'une langue agile.


Une fois qu'il fut rhabillé je lui dis :


-         Rappelle-toi  pas un mot... 


Et je posais mon doigt sur mes lèvres, il hocha affirmativement la tête et nous sortîmes dans le couloir.



  Alors que Mamma lui ouvrait la porte,  je l'entendis lui dire que c'était le meilleur coup qu'il ait jamais tiré.


J'étais désolée, mais il était si gentil.


Je savais pourtant j'avais trot de m'apitoyer.


Mais c'était juste un si gentil jeune homme.


L'idée me frappa soudain que je n'avais que 22 ans et je pensais à tous ces jeunes hommes comme à des enfants.



  Je jetais un coup d'œil anxieux vers Snake et Mickey, ils semblaient un peu désappointés de me voir accepter aussi facilement de travailler dans un bordel.


Je me disais au fond de moi même


-         Donnez-moi le temps, ce n'est que mon premier client ! ...



  Dès ce moment, et pendant toute la nuit jusque 4 heures, je montais et descendais le couloir menant à ma chambre, m'arrêtant parfois pour me rafraîchir un peu dans la salle de bain.


Il y avait des clients qui se montraient gentils, d'autres qui étaient plus chiants, certains beaux d'autres laids, de toutes les races que l'on puisse connaître.



  Je dus prendre une fois deux gars en même temps et deux fois je dus me joindre à une autre fille pour satisfaire un client exigeant.


Après chaque client je nouais le haut de la capote et la jetais dans la poubelle.


Elle était à moitié pleine vers 4 heures et demi du matin alors que redescendais le couloir avec mon dernier client. Il ne restait plus qu'une autre fille et moi dans le hall d'entrée.


Les autres filles nous avaient quitté une heure plus tôt.


Snake et Mickey étaient partis après mon troisième ou quatrième client.



  Personne ne s'était pointé depuis une demi-heure et je m'endormais sur ma chaise quand la sonnette retentit à nouveau.


Mamma alla ouvrit la porte à un groupe de six hommes.


Je suppose qu'il s'agissait d'officiers ou d'auxiliaires civiles de la base militaire.


Ils semblaient faire partie de l'armée, mais ils bien trop vieux  pour être des jeunes recrues comme la plupart des jeunes hommes qui m'avaient sautée ce soir.



  L'un d'eux discuta calmement avec Mamma tandis que les autres nous parlaient à l'autre prostituée et à moi.


Visiblement ils avaient bu mais ils ne semblaient, ni ivres ni antipathiques pour autant.


Je vis Mamma hocher la tête et ils se dirigèrent tous vers le fond du hall d'entrée vers une pièce légèrement plus grande que celle ou j'avais officié toute la nuit.



  Cette salle ne comportait pas de lit à sa place on trouvait un banc couvert de feutre d'environ deux mètres de long, à hauteur de bite.


Ils m'allongèrent sur le dos, l'autre fille placée sur moi en 69.



Nous nous mîmes toutes eux au travail.


Mon pauvre minou avait déjà supporté une longue nuit de service aussi sa langue me faisait drôlement de bien.


Je suppose que les prostituées ne sont pas sensées avoir d'orgasmes lorsqu'elles travaillent, mais j'en avais eu de nombreux au cours de la nuit...... Et je n'étais pas loin de succomber une fois encore. Cette fille était une excellente brouteuse de chatte.



  Nos clients se tenaient à nos cotés nous observant attentivement, parfois l'un d'eux nous caressait, caressait ses fesses ou passait la main entre nos deux corps pour nous pincer les nichons.


Nous nous sommes bouffé la chatte pendant un long moment, puis j'entendis nos consommateurs se déshabiller et je vis une longue bite se planter dans la chatoune de la fille qui me surplombait.


Au même instant une autre plongea dans ma cramouille, j'entrepris e lécher la bite et les couilles qui frottaient sur mon visage, il se passa plusieurs minutes avant que je réalise que ce salaud ne portait pas de capote.


J'en étais arrivé à un point où je m'en foutais totalement.


Bien trop de motards m'avaient sautée la bite nue pour que je m'en soucie maintenant.



  Je sentais une grosse bite coulisser dans ma chatoune mais je faisais surtout attention à la longue mentule qui labourait mon "amie".


Je voyais bien qu'il tout près de jouir, il se retira alors de la chatte de l'autre pute et engouffra sa bite dans ma bouche, jusqu'à la luette. S'ils pensaient que cela puisse m'affecter, ils en furent pour leurs frais.


J'avais avalé bien plus de sperme lors de ces dernières semaines que la plupart des femmes dans toute leur vie.



  J'avalais sa semence légèrement acide et lui nettoyais la bite, il s'exclama :


-         Bordel quelle bonne suceuse ! .....


J’en étais fière, ils ne tardèrent pas à m'encercler pour se vider tout à tour dans ma bouche accueillante. Je suçais ainsi les 6 hommes.



  Ils me laissèrent finalement, je me nettoyais et revins dans le hall.


Cela faisait maintenant une bonne douzaine d'heures que je me prostituais et je n'avais pas encore échangé un seul mot avec mes compagnes, à l'exception de Mamma.


Même pas avec celle qui m'avait brouté le minou.


Je ne saurai pas dire si c’était parce qu'elles ne m'aimaient pas ou si elle n'appréciait pas mon irruption dans leur petit commerce.



  Lorsque les 6 hommes partirent, la fille que j'avais mignotée en fit autant, je demeurais seule avec Mamma, nous somnolions sur nos chaises.


Je pensais que ne tarderions plus à nous coucher lorsque la sonnette retentit de nouveau.


Mamma ouvrit à 3 nouveaux jeunes clients, ils furent désappointés de voir que j'étais la seule fille disponible.


Ils n'étaient pas vraiment désappointés en fait ils n'avaient aucune envie de se partager une pute.


Mais comme ils n'avaient pas le choix ils décidèrent de me prendre à trois, chacun voulant utiliser un trou différent.



  Je les emmenais dans ma petite chambre et commençais par tailler une pipe à l'un d'eux.


Je compris bien vite que ce gars réclamait une gorge profonde. Et comme d'habitude cela ne dura pas bien longtemps.


J'étais si fatiguée que j'avais oublié de lui enfiler une capote, je fus toute surprise de sentir un flot de sperme m'emplir la bouche.


J'avalais sa semence, lui souris et m'exclamais :


-         Oups ! .....



  Il me sourit en retour et me dit :


-         C'était la meilleure fellation que j'ai eu de ma vie ! ..... Ma fille si tu n'étais pas une pute je t'épouserai sur-le-champ ! ....



  Je me rappelais de la capote pour les suivants bien qu'ils n'aiment pas cela.


Mais c'était de bon gars et ils ne voulaient pas me froisser.



  J'étais si fatiguée que je ne réalisais même pas combien de fois je m'étais fait baiser depuis que Snake m'avait amené dans ce bordel.


Mais je ne me sentais pas encore assez endolorie pour ne plus pouvoir continuer.



  Lorsque je redescendis avec mes trois clients satisfaits, je vis Mamma se préparer à partir.


Son rôle était terminé, il y avait maintenant trois autres filles attendant le client, Mamma les avait apparemment informées que j'étais ici à la requête de Snake, elles semblaient se contenter de cette mise au point.



  Je suppose que je devais paraître assez fatigué.


Excepté un court somme peu auparavant, je n'avais pas dormi depuis presque vingt-quatre heures maintenant.


La plupart du temps je travaillais avec les autres filles se tenant dans le hall d'entrée.


Cependant, ce qui me distinguait des autres, c'est que j'étais intégralement nue.


On ne me choisissait plus que lorsque les autres filles étaient déjà occupées, ce qui me convenait parfaitement.



  Il en fut de même pendant la matinée, je ne dus satisfaire que quelques clients, mais, aux environs de midi, les affaires reprirent.


A ce moment les clients ne se préoccupaient que de trouver des filles désœuvrées, cela ne changeait pas grand chose.


Je descendais le couloir, un homme me choisissait, je retournais en sa compagnie dans ma chambrette, et y faisais tout ce qu'il voulait ; 5 % de mes prestations étaient anales, 20 % orales, et les 75 % restant ordinaires bien que souvent violentes.



  Je notais ma 24ème heure d'abattage, puis ma 36ème heure, mon corps était totalement engourdi, les clients commençaient à se plaindre que je m'endormais alors qu'ils me baisaient.


Aussi le gros rouquin qui remplaçait Mamma me prit à part pour avoir une petite conversation avec moi avant de tester mes charmes...



  Il me prévint qu'il savait pour quelle raison je me trouvais là, et qu'il était désolé pour moi, mais qu'il ne pouvait laisser des clients se plaindre du comportement des putes dont ils louaient les services !


Aussi ferai-je mieux de me secouer si je ne voulais pas que Snake soit mis au courant.



  Cette semonce me fit autant d'effet qu'une douche froide, il sortit alors sa grosse bite de son caleçon et je lui taillais une pipe avec un dynamisme certain.


Puis nous avons regagné le hall et je fis de mon mieux pour me montrer avenante et dynamique avec mes clients.



  Snake revint vers 17 heures, cela faisait pratiquement cinquante heures que je subissais client après client.


J'étais à mi-chemin de sa camionnette lorsque Mamma ouvrit la porte et me hurla de venir reprendre ma combinaison.


Je courus vers elle et debout dans le porche d'entrée j'enfilais ma courte combinaison, puis je retournais au van.



  Snake démarra et on partit.


-         As-tu compris la leçon chienne ? Me demanda-t-il sévèrement.


-         Oui monsieur...  Soufflais-je affolée.


-         Qu'as-tu appris salope ?


-         Maître, j'ai appris que je ne devais jamais vous appeler par votre nom, et que je ne devais jamais rien vous refuser...



  -         T'es vraiment une conne, petite chienne, je me demande si tu as vraiment retenu quelque chose...  Tu as probablement pris du bon temps !  Tu te l'es coulée douce en fait ! 


-         La prochaine fois que tu serviras, ce sera dans un club sado-maso à une heure et demi d'ici !  Je te garantis que tu n'y prendras aucun plaisir cette fois !


-         Je n'étais pas sure de comprendre ce dont il me menaçait, mais je savais déjà que je détesterais cela.



  Snake gara sa voiture dans l'allée du garage, je pénétrais dans la maison, me débarrassais de ma combinaison et entamait son ménage.


Tandis que je nettoyais la chambre, je remarquais que l e pot d'onguent se trouvait toujours là, je m'en servis pour  en enduire copieusement mon trou du cul et ma fentine.


Instantanément je me sentis mieux, j'essuyais l'extérieur de mes orifices, je ne pensais pas que Snake aimerait celà, il était persuadé que je n'avais pas encore assez souffert !


Je ne voulais donc pas qu'il se rende compte que je m'étais servi de cet onguent miracle.



  Il se faisait tard et Snake décida qu'il ne voulait pas que je tourne autour de lui alors qu'il travaillait, il me renvoya donc chez moi, j'étais folle de joie.


Je rassemblais mes effets, enfilais ma combinaison et m'empressais de rentrer à la maison.



  Je me ruais à l'intérieur et je vis quelqu'un bouger et crier, je me suis évanouie à cette vue.



  Je repris conscience dans les bras de mon mari qui me tenait la tête et frottait une serviette humide sur mon visage.


Je devins carrément hystérique en constatant que c'était lui, ma vie était finie !


Cela me prit bien dix bonnes minutes pour me calmer assez pour entendre ce qu'il me disait.


J'étais épuisée, j'avais du dormir en tout et pour tout une quarantaine de minutes ces dernières 60 heures !


Un espèce de brouillard envahit alors votre esprit quand vous êtres par trop éreintée.



  Finalement j'acceptais le fait que ma vie et mon mariage étaient ruinés, et je commençais à expliquer les faits à Jay.


Je lui racontais tout, je lui montrais même les mails et les photos, je m'attendais à ce qu'il hurle ou me frappe ou quelque chose de ce genre !


J'épiais son visage guettant l'expression dégoûtée qu'il  afficherait tôt ou tard.


Mais il se contenta de m'écouter sans commentaires superflus.


Il ne me posa que quelques questions puis il m'aida à me relever et m'emmena dans la douche, il enleva sa robe de bain et se doucha avec moi, me lavant gentiment le corps.


Puis il m'aida à gagner notre lit et s'assit sur le rebord prit ma tête et m'embrassa tendrement pour me souhaiter une bonne nuit.



  Je ne comprenais pas, à ma connaissance pas un homme ne resterait avec une foutue salope qui l'aurait trompé !


Pourquoi ne manifestait-il pas sa fureur ?


Il m'avait seulement dit :


-         Prends un peu de repos, ça ira mieux à ton réveil !


Je pleurais amèrement dans mon lit.


Il se pencha alors sur moi et essuya mes larmes m'embrasant jusqu'à ce que je m'endorme.



  Je dormis quasiment 24 heures d'affilée, lorsque je m'éveillais, Jay était étendu à mon coté, je m'assis et il ouvrit les yeux, je ne vis que de l'amour et de la pitié dans son regard.


Je lui dis que j'allais partir, qu'il devait me foutre dehors, qu'il était bien trop parfait pour une salope de mon acabit.


Il se contenta de sourire et me dit de me calmer.


Je sortis du lit, j'étais gênée qu'il me voie nue, après tous ces gens qui m'avaient vu nue dernièrement, j'étais paradoxalement extrêmement gênée d'exhiber ma nudité sous ses yeux.


Je pensais que je ne le méritais plus, j'étais souillée à jamais.



  J'enfilais prestement une robe puis nous avons gagné la cuisine.


J'e préparais un souper léger puis nous nous sommes assis tranquillement. Je ne savais que dire à quel point j'étais désolée.


Il continuait à me répondre que c'était bon, bien qu'en  fait ça ne l'était pas. Cela ne pourrait plus jamais être bon.



  On alluma ensuite la télé pour suivre les informations, je regardais sans y faire attention jusqu'au moment ou je vis apparaître des photos de Snake, évidemment elles retinrent mon attention.


Il semblait que plus tôt dans la journée un voisin avait découvert le corps sans vie d'Albert "Snake" Dutton, il avait été tué de deux coups de revolver de petit calibre, probablement un 22.


Lors de leur enquête, les inspecteurs avaient trouvé une pièce verrouillée à double tour, refermant des preuves évidentes qu'il faisait chanter des utilisateurs du prestataire internet pour lequel il travaillait la nuit ce qui lui permettait d'avoir accès aux mails et aux discussions de nombreux consommateurs.



  Jay possédait un 22, c'était un cadeau de son grand-père, il tirait à la cible avec lorsqu'il était gamin.


Mais il n'avait pas servi depuis de longues années, je lui jetais un oeil soupçonneux, il se contenta de me sourire en retour.



  -         Te sens-tu mieux maintenant ? Me demanda-t-il inquiet.


Je hochais affirmativement la tête.


-         Veux-tu me faire plaisir ?


-         Oh mon Dieu Jay, tout ce qu tu voudras !  Je mourrais pour toi !



Il m'adressa un petit sourire furtif et ajouta :


-         Ce n'est pas plus mal !


Puis il éteignit la télé, me prit la main et m'emmena dans notre chambre.


-         Il semble impossible qu'il veuille encore me faire l'amour après tout ce que je lui ai avoué... Pensais-je tristement.



  -         Je voudrai te voir dans  ces tenues qu'il te faisait porter !


Je pensais tout d'abord qu'il voulait  satisfaire sa curiosité et m'humilier avant de me foutre dehors !


Mais j'avais tort.



  Jay vit  ma confusion, il poursuivit :


-         Ma chérie, j'ai essayé d'être l'époux parfait depuis que nous nous sommes marié...    Non, depuis que nous nous sommes rencontrés...  Je t'ai aimée dès la première fois que je t'ai vue, j' ai tout de suite voulu être ton prince charmant...  Mais je pense que je n'avais encore jamais réalisé à quel point j'étais stupide... 


Lorsque tu m'as raconté toutes ces horribles choses que tu as subies, j'ai senti croître mon excitation au fur et à mesure de tes révélations.....  Lorsque tu m'as montré ces photos de toi dans tes mails j'ai quasiment joui dans mon pantalon !  Et lorsque tu as dormi j'ai réfléchi à toutes ces choses que Snake savait de toi...  J'ai regardé les vidéos... Je les ai toutes regardées, y compris les DVD que j'ai dérobé dans sa maison...   Et j'ai alors réalisé que nous avions raté un tas de chose dans notre vie...  Et surtout toutes ces choses qu'on aurait pu faire ensemble.....



  -         Si je veux te voir dans ces tenues c'est que je veux voir moi aussi ce les autres ont vu...  Je veux ressentir les mêmes émois que ces hommes quand tu refermais ta bouche sur leurs biotes...   Et je veux que tu hurles de plaisir sous les caresses de ma langue comme lorsque Snake te butinait la chatoune !


-         Nous avons vécu une vie frileuse sans en tirer grand plaisir...  J'en suis venu à comprendre tout ce que nous avons raté en suivant ce lamentable chemin...  Je ne suis pas encore sur que ça valait vraiment le coup...



  Je ne savais pas si j'avais raison, mais j'enfilais un de mes pagnes et le haut le plus révélateur que je trouvais, puis je paradais sous les yeux de Jay, je regardais son visage et comprit qu'il ne se foutait pas de moi.


Il aimait le spectacle que je lui offrais.


Lorsque je me laissais tomber à genoux pour descendre son pantalon et son caleçon sur ses chevilles et que je me mis à lu tailler une pipe, il commença à se cabrer furieusement dans ma bouche, je compris qu'il m'aimait toujours autant, sinon plus.


J'étais si heureuse que j'en pleurais, je le suçais et pleurais à chaudes larmes, et lorsqu'un orgasme fracassant le submergea, il jouit pour la première fois dans ma dans ma bouche alors que je succombais à mon tour.



  Puis il s'occupa de moi, il était évident qu'il avait observé attentivement les vidéos, il dégustait pour la première fois ma chagatte, mais il le fit avec style et amour, c'était vraiment fantastique !



  Je n'entendis plus jamais parler de l'enquête, apparemment pas un seul des amis de Snake n'avait mentionné mon nom.


Demain je dois conduire Jay en ville, il veut renouer avec un  de ses vieux copains, je savais juste qu'il possédait un bar à putes, Jay voulut s'arrêter chez Larry sur le chemin du retour pour voir s'il disposait de nouvelles tenues que j'aimerai endosser, je portais mon collier de chienne.



  9 février 2008


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


Vulgus (vulgus@hotmail.com)





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