Alexia : Jeux de vilaines
Chapitre 1
- Salut Pauline
- Salut Alexia
Les deux jolies brunes s’embrassèrent sur les deux joues. Alexia la plus petite des deux et aussi la plus pétillante, jalousait quelque peu l’énorme
poitrine de son amie. Pauline avait deux beaux melons à la place de ses seins alors qu’Alexia avait une jolie petite poitrine ronde.
Cela faisait quelques temps qu’elle ourdissait un plan pour exploiter les seins de son amie. Lui faire payer ses avantages qu’elle jugeait injustifiés
et profiter d’elle et de ses seins pour son propre plaisir par la même occasion.
- Ca te dit un tournoi de poker en ligne ce soir chez moi ? On est vendredi alors on a le temps !
- Un tournoi Alexia ?
- Oui ! Tu viens avec ton portable et moi avec le mien et on joue sur un tournoi toutes les deux. Celle qui va le plus loin gagne !
- Ca peut être amusant !
- On peut même intéresser plus la partie !
- Comment ?
- Disons que celle qui perd devient l’esclave de l’autre pendant tout le week-end !
- Esclave du genre totalement soumise à l’autre ?
- Oui impossible de rien refuser !
- Même du sexe !
- Oui !
- Tu sais, si je gagne, je t’emmène dans une ferme pour te faire baiser par un âne !
- Salope ! dit Alexia en frissonnant, moins sûre d’avoir eu une bonne idée. Si je gagne, je m’occupe de tes seins pendant tout le week-end !
- Chiche !
- Chiche !
- A ce soir alors !
- Je ne me dégonflerai pas et je compte gagner pour prostituer ta poitrine de grosse truie !
- Je ferai de toi mon ânesse !
Les deux jeunes filles se séparèrent à l’entrée de la fac pour aller à leurs cours de la journée.
Toutes deux étaient très excitées à l’idée de ce qui se profilait pour leur week-end. Excitées et angoissées tout à la fois. L’idée de gagner leur plaisait bien
mais le prix
à payer si elles perdaient leur semblait un peu lourd à chacune.
Alexia laissa tomber sa journée de cours, n’écoutant rien, se concentrant sur les trucs et astuces du poker, les stratégies pour optimiser son jeu, connaitre toutes les
mauvaises mains. Elle voulait pouvoir jouer avec les seins de Pauline.
Cette dernière profita du midi pour aller jouer en ligne quelques parties gratuites. Elle rêvait depuis toujours de faire passer son amie sous un âne. Voir son
joli corps nu
sous la bête, avec son énorme sexe qui allait pénétrer brutalement en elle en la faisant crier puis remuer pour la saillir comme une simple ânesse. Elle n’avait
pas du tout
la moindre envie de perdre.
Le soir, les deux jeunes filles s’installèrent dans la chambre de la résidence universitaire d’Alexia. En raison de l’enjeu, elles désiraient éviter tout
contact familial pendant
les prochains jours.
Il y avait justement un tournoi de sélection pour le WPT ce soir là. Les deux jeunes femmes s’inscrivirent en même temps, chacune guettant les résultats
de l’autre au fil
des tours qui commencèrent à s’enchainer. Au bout d’une heure, Pauline caracolait en tête et Alexia dut jouer son tapis avec une main faible. Elle eut cependant
de la chance,
sortant un brelan de 3 qui la renfloua.
Deux bonnes heures plus tard, les deux jeunes femmes se retrouvèrent sur l’une des tables finales du jour, la même table.
La tension entre elles était extrême et chacune essayait de bien cacher son écran à l’autre ainsi que leurs réactions. Pauline fit tapis avec une paire d’as en main.
Elle eut la
bonne surprise de voir Alexia la suivre. Tout allait se jouer sur cette main. Le tirage des 3 cartes sortit un 5, un 8 et une dame. Rien de bien intéressant.
Pauline sentait bien
les choses. Alexia qui espérait une couleur fut déçue de voir que seules des cartes rouges étaient sorties alors qu’elle possédait deux trèfles. La suivante ne
les intéressa
pas plus, un 2 de cœur. Pauline sentait que ses désirs allaient enfin se réaliser. La dernière carte fit pousser un soupir à Alexia. Un valet de trèfle.
Il était temps qu’un trèfle
sorte enfin.
Pauline vit son jeu s’afficher à l’écran, fière de sa paire d’as. Elle se figea désemparer en voyant son compte tomber à zéro et un message lui signifiant son
élimination
s’afficher. Elle vit horrifiée qu’Alexia possédait une suite, possédant un 9 et un 10.
Alexia plus du tout intéressée par la suite du tournoi enchaina tapis sur tapis, sans faire attention à ce qu’elle avait et finit par perdre après une dizaine
de tours supplémentaires.
Elle avait perdu le tournoi mais gagné le pari.
Pauline la regarda inquiète.
- Tu sais ce qui t’attend !
- Tu es sérieuse ?
- Oui !
- C’était pour rire les gages non ?
- Non ! A poil et vite !
- S’il te plait !
- On ne discute pas où je me fâche !
- J’aurai droit à une revanche ?
- Vendredi soir prochain oui !
- Ok dans ce cas allons-y.
Pauline commença par sagement retirer ses chaussures puis ses collants avant de faire glisser sa jupe au sol. Elle recommença à protester un peu mais Alexia lui colla
une gifle sèche sur chaque joue.
- Tu es mon esclave pour tout le week-end ! Tu obéis sinon il t’en coutera !
- Salope !
Pauline se prit une nouvelle paire de gifles.
- Je ne veux pas que tu filmes mon déshabillage !
- Tu n’as rien à vouloir ! Tu obéis et c’est tout ! Tu te crois où esclave ?!
Pauline reçut à nouveau une paire de gifles, sans oser riposter.
Elle retira son T-shirt à regret pour se retrouver en dessous de coton fleuri devant Alexia qui filmait toute la scène depuis le début. Ses seins menaçaient
de sortir à tout
moment du soutien-gorge tant ils étaient gros.
- Allez ! le soutif !
Pauline à regret le dégrafa et le jeta sur le tas de vêtements à ses pieds. Les tétons étaient tendus, pas trop long ni trop épais, de belles aréoles brunes
à leur base. Les seins
étaient vraiment aussi gros nus qu’ils lui avaient semblés l’être quand Pauline était habillée. De beaux melons, bien fermes, fièrement dressés devant Alexia.
Pauline était toute
rouge de honte de devoir les exhiber.
Alexia se délectait de cette vision et filmait la scène, de loin puis en zoomant uniquement sur les deux superbes mamelles, de face, de coté, de ¾ dos, puis de
face sur chacune
des mamelles.
Cela avait valu le temps d’attendre tout ce temps. Elle allait bien s’amuser avec cette poitrine offerte, rien qu’à elle et à ses désirs.
Elle s’agenouilla pour aussi filmer ces promontoires de dessous, partant de la base et faisant glisser l’objectif jusque la pointe. Un régal que de voir Pauline
totalement
soumise à sa volonté et de la voir tenter sans cesse de se maitriser, furieuse qu’Alexia la filme ainsi.
- Allez salope ! J’ai dit à poil !
Pauline à regret fit glisser sa culotte pour se mettre nue devant son amie. Alexia filma la scène tout en tournant autour de la jolie strip-teaseuse. Elle prit
des détail en gros plan
de la chatte toute rasée et des fesses rondes de son esclave puis la fit se pencher en avant et écarter ses fesses des deux mains pour prendre des plans
rapprochés de son anus,
des grandes et petites lèvres intimes puis de l’intérieur même de sa chatte. L’entrée de son vagin, son orifice urinaire puis son clitoris. Elle lui ordonna
de ne pas bouger
et passa à coté d’elle puis devant elle pour filmer aussi ses gros seins qui pendaient sous elle.
Alexia en salivait de plaisir et de désir. Quelle délice de voir sa salope d’amie dans cette position.
- On dirait une vache qui a besoin d’être traite comme cela !
- Tu es une enfoirée !
- Pire que cela mais tu n’as pas le droit de me le dire petite vache. Tu dois au pire me remercier !
Alexia prit une ceinture en cuir dans son armoire et la passa au cou de Pauline pour en faire une longe. Elle sera bien et la garda en main puis commença à
claquer avec la main
la croupe tendue de son amie, l’empêchant de bouger en l’étranglant avec la ceinture à chaque amorce de mouvement de rébellion. Elle ne cessa qu’après avoir entendu
son amie pleurer un long moment puis la supplier d’arrêter puis enfin toujours en larmes, lui promettre d’être respectueuse et obéissante.
- Bien ! On se comprend enfin !
Alexia sourit et prit de nouveau un film du corps de son amie, filmant bien les fesses toutes rouges après la fessée reçue, insistant sur les traces de ses doigts
qui se découpaient
par endroit sur la peau tout en ne pouvant s’empêcher de terminer sur sa poitrine.
Elle reprit la longe en main pour maitriser Pauline et gifla rapidement et fortement à plusieurs reprises ses seins pendant sous elle, les faisant balloter sous
ses coups et faisant
hurler de douleur Pauline, bien plus fortement que précédemment. Ses jambes se dérobèrent sous elle et elle tomba à genoux puis à 4 pattes aux pieds d’Alexia.
- Tu sais que tu me plais bien dans cette position !
- Je n’ai rien fait…pourquoi me frapper encore !
- Parce que j’adore ça ! Tu n’as pas à avoir des plus gros seins que moi ! Voilà ce que tu as fait !
- C’est injuste !
- Totalement injuste ! C’est moi qui devrais avoir tes seins ! Pas une esclave qui ne sait même pas quoi en faire !
Alexia prit une chaise avec de gros pieds en bois torsadés et la coucha sur le coté, la coinçant le dossier contre le mur sous les yeux de Pauline qui se demandait
ce qu’il lui prenait.
Elle revint prendre la longe et la fit reculer vers la chaise. Pauline comprit aussitôt ce qui l’attendait. Elle écarquilla les yeux tout en protestant mollement,
ayant trop peur
d’une nouvelle correction.
Alexia lui guida les fesses de la main pour placer l’entrée de son vagin sur le bout du pied de la chaise et tira ensuite durement sur la longe pour la forcer
à s’empaler durement
sur ce pied.
Pauline hurla de douleur et de panique, reculant trop vite à son gout, son vagin meurtri par la torsade. La texture du bois lui irritait également toute sa muqueuse
vaginale.
Alexia reprit son caméscope en main pour filmer son amie ainsi prise sur le pied de chaise. Elle se mit à son niveau et lui ordonna de se baiser sur la chaise
jusqu’à ce qu’elle
lui dise de s’arrêter.
Elle voyait ainsi les grosses mamelles pendantes s’agiter sous ses yeux au rythme des mouvements de son amie sur le pied de chaise. Pauline souffrait à chaque mouvement
et se sentait terriblement humiliée de devoir se prendre ainsi sur un objet devant sa copine. C’était la première fois qu’elle était vue par quelqu’un en train
de se faire baiser.
Le pire c’est que cela faisait en plus très mal. Le trouble était aussi très dérangeant. Etre vue ainsi déchue lui semblait bon. Elle appréciait ce sentiment.
Néanmoins, elle se promit
qu’elle se vengerait dès qu’elle gagnerait au poker à son tour.
Alexia glissa une main dans sa culotte et se caressa doucement le clitoris en regardant et en filmant ce joli spectacle. Quel plaisir que de voir Pauline ainsi
en perdition. Tant pis
si jamais elle devait le payer en retour un jour. Cela n’avait pas de prix de pouvoir profiter d’elle à loisir ainsi.
Elle finit par baisser sa culotte et trousser sa jupe puis s’agenouilla cuisses ouvertes devant son amie.
- Lèche ta maitresse esclave ! Fais-moi jouir de ta langue !
Pauline n’avait jamais fait cela auparavant, étant farouchement hétéro. Elle grimaça et se prit deux violentes gifles sur la figure puis deux autres encore
plus violentes sur les seins.
- Fais-moi jouir !
Pauline compris qu’elle serait frappée jusqu’à ce qu’elle obéisse et se décida à mettre une fin à ses tourments en se forçant à passer sa langue sur la chatte
lisse d’Alexia.
Elle grimaça en sentant le gout de son excitation sur sa langue et se força à entrer entre les lèvres intimes. Elle se concentra sur le clitoris, tout en essayant
d’oublier ce qu’elle était
en train de faire. Elle était nue à 4 pattes en train de se baiser sur un pied de chaise en bois torsadé, une longe au cou et elle léchait son amie dont elle était
l’esclave
pour les prochains jours.
Cela la fit jouir en même temps qu’Alexia de penser à tout cela. Elle se prit aussitôt une énorme claque sur le cul, Alexia lui reprochant son plaisir qu’elle ne
lui avait pas
permis de prendre.
Elle remonta sa culotte, se promettant de reprofiter pendant le week-end des talents de son amie. Quel pied elle avait pris ! Elle s’installa devant son micro et
se connecta sur
facebook sur le profil de son amie.
- Vient taper ton mot de passe esclave !
- Ha non ! Pas question ! Tu ne touches pas mon profil ! dit Pauline après s’être défaite du pied de chaise et s’être approchée de l’écran.
Aussitôt Alexia attrapa la ceinture pour étrangler Pauline sans précaution. Cette dernière suffoquant s’agenouilla, perdant ses forces. Alexia libéra un peu la
ceinture et
claqua les gros seins de son esclave à toute volée.
Pauline s’effondra sur le sol, le souffle coupé par la douleur, incapable de parler et de bouger.
- Tu as compris cette fois ? Tu vas me taper ton mot de passe que je m’occupe de ton profil facebook !
- Pitié oui ! Ne me tape plus ! Je vais le faire…
- Tu vois quand tu veux ! Je vais finir par croire que tu aimes que je te frappe ! Alors que moi je déteste cela ! Je ne le fais pas pour mon plaisir mais
pour le tien tout cela !
Pauline préféra ne rien dire devant la mauvaise foi évidente de son amie et maitresse du week-end. Elle parvint à se redresser et la mort dans l’âme, elle donna
tous les accès
de son profil à son amie.
- Il est temps que tes amis puissent voir un peu ta vraie nature et qu’ils te découvrent un peu mieux physiquement ! Tu vas avoir du succès à mon avis !
- S’il te plait…Ne fais pas de bêtises…
- C’est pour ton bien ma chérie !
Alexia commença à uploader les petits films qu’elle avait réalisés de son amie. Elle mit en ligne plusieurs photos de son strip-tease, des photos de ses
seins nus, de sa chatte,
de son cul, d’elle ouverte à 4 pattes tenue par la ceinture et aussi en train de se baiser sur le pied de chaise.
Elle donna ensuite le droit à tout le monde de voir les films de tous ces délicieux moments.
Rapidement, Alexia et Pauline virent le nombre de personne consultant tout cela augmenter. Alexia donna libre accès à toutes les personnes connues et inconnues
qui en firent la demande.
- Tu vas devenir l’une des vedettes du moment je crois dit Alexia en pouffant de rire.
Alexia passa ensuite une annonce qu’elle cacha à Pauline. Elle souhaitait trouver un médecin qui puisse faire une piqure d’hormones provoquant
la lactation chez son amie.
En échange, il aurait le droit de se payer en nature avec Pauline.
Les réponses ne tardèrent pas à arriver. Plusieurs lui proposèrent le même produit et après quelques recherches sur le net, Alexia parvint à la conclusion que
les propositions
étaient bien sérieuses. Elle se décida alors à sélectionner un médecin pouvant faire l’injection miracle à Pauline.
Elle découvrit ravie un médecin nain. Elle lui demanda aussitôt ses exigences qui lui parurent raisonnables. Elle se mit d’accord avec lui et fut heureuse de
savoir qu’il pouvait
agir dès le soir même.
Alexia rajusta sa tenue et tira sur la ceinture pour faire avancer Pauline à 4 pattes. Arrivées à la porte de la chambre, Pauline se mit à protester vivement.
- Ne fait pas ta mijaurée ma chérie ! Il y a plusieurs milliers de personnes qui t’ont vu en train de baiser avec une chaise sur le net. Dont une bonne
cinquantaine de filles
de cette résidence…Alors ton cul et tes nichons, tout le monde les connait maintenant !
- S’il te plait non ! Je ne peux pas !
Alexia pinça le clitoris de son amie jusqu’à ce qu’elle fonde en larmes et capitule. Elle ouvrit alors sa porte et sans ménagement, elle la fit sortir dans
le couloir en tirant sur la ceinture.
Elle parcourut tout l’étage ainsi avec Pauline à 4 pattes nue derrière elle et passa exprès par la partie foyer de la résidence.
Les applaudissements furent nourris lors de leur arrivée. Tout le monde en profita pour tapoter, masser, peloter, tripoter le cul et les seins de Pauline sous
prétexte de la flatter
comme l’animal et l’esclave qu’elle était.
Pauline malgré elle se mit à mouiller et se l’entendit reprocher par de nombreuses filles, pour sa plus grande honte. Alexia prolongea ce moment plus que
nécessaire et se rendit
compte qu’elle allait être en retard à son rendez-vous. Elle tira alors sur la ceinture et se mit à courir vers la porte pour sortir sur le campus, Pauline
essayant de suivre le rythme,
étranglée sans cesse par la ceinture qui se serrait sur son cou.
Alexia se retournait fréquemment pour profiter du spectacle de ses seins énormes qui bougeaient en tous sens. Cela l’excitait plus que tout. Elle hésita puis ouvrit
le coffre
de sa voiture pour y faire entrer Pauline, tout en la tirant par les tétons pour éviter qu’elle ne proteste ou résiste. Elle les sentit bien dur entre ses doigts
et les malaxa un peu
avant de bien les écraser puis d’y planter ses ongles. Pauline n’esquissa aucun geste de refus, pleurant de douleur en raison de ce traitement et rentra le plus
vite possible
dans le coffre de la petite voiture.
Alexia lui claqua bien les fesses pour accompagner la fin du mouvement et entra aussi son index et son majeur droit d’un coup à fond dans l’anus de Pauline.
Elle les fit tourner
pour s’amuser, excitée par le fait de l’enculer comme cela le cul bien visible de tous les passants.
Un petit attroupement se provoqua rapidement, encourageant Alexia à lui ouvrir encore plus le cul, à écarter ses doigts dedans. Elle le fit pour s’amuser puis
ensuite fit se retourner
Pauline et la fit mettre à genoux dans le coffre mamelles offertes.
Toutes les filles présentes eurent alors le droit de profiter de ses seins. L’une d’elle aspira ses tétons tout à tour pour y boire comme si Pauline avait du lait.
Comme rien ne venait,
elle imita le bébé qui s’impatientait et mordit dans les tétons comme affamée.
Une autre des filles s’amusa à tirer sur les tétons en les allongeant comme pour traire une vache. Elle était très fière d’être issue de la campagne et de pouvoir
montrer son savoir.
Elle massa de plus en plus fort les tétons, les étirant de plus en plus avec ses doigts puis avec ses paumes de main pour finir par les traire très durement
comme si c’était des pis
d’animaux. Alexia s’empressa de l’inviter à passer les voir le lendemain après-midi, se disant que là il y aurait vraiment du lait à faire sortir.
Une autre fille très délurée, baissa son jean et sa culotte pour se mettre à moitié nue devant tout le monde. Elle n’en pouvait plus d’excitation et tirant
sur l’une des
mamelles de Pauline, elle la força à se placer de façon à ce qu’elle puisse se caresser la chatte avec le sein et son téton.
Rapidement, elle gémit comme une folle de plaisir, se frottant le clitoris du téton de Pauline. Alexia faillit en jouir rien qu’en voyant cela et en écoutant
la fille gémir et finalement
jouir extrêmement fort. Elle se dit qu’il fallait aussi qu’elle essaye cela mais pas en public. Elle aurait le temps ce week-end de tester en tête à tête
avec Pauline, ou plutôt
en téton à clito…
Une dernière fille se lança et exhiba ses seins, de beaux melons un peu plus gros que ceux de Pauline. Alexia avait bien envie d’en faire son esclave aussi
en les voyant mais
elle se dit qu’il lui fallait être raisonnable. Pauline, c’était bien assez suffisant !
La fille se baissa et se mit tétons contre tétons avec Pauline. Elle commença un petit jeu de caresses légères, les tétons se frôlant les uns les autres puis
elle frotta un peu plus fort
ses seins contre les tétons de Pauline. Une fois bien excitée, elle se pressa mamelles contre mamelles et embrassa Pauline, fouillant sa bouche de sa langue,
sans la laisser respirer.
Quand elle abandonna enfin sa proie, elle saisit durement les mamelles de Pauline, les pressant des mains pour les allonger et faire jaillir bien fort ses
tétons et comme si c’était
des objets, elle se servit ainsi des tétons pour se faire un massage de la poitrine. Cela dura une bonne dizaine de minutes avant qu’elle ne jouisse.
Pauline était fourbue, les mamelles meurtries, douloureuses même lors de simples petits coups de vent. Elle reçut avec plaisir l’ordre d’Alexia de se coucher
dans le coffre pour
qu’elle puisse le refermer.
Les filles présentes remercièrent chaudement Alexia, lui demandant l’adresse facebook de Pauline et lui promettant d’envoyer les petits films que certaines
avaient tournés
avec Pauline ainsi dans son coffre servant à certaines d’entre elles pour qu’ils puissent être mis en ligne.
Elle s’installa enfin à son volant pour prendre la route en direction de la piqure miracle du docteur contacté sur le net. Cela promettait…
Alexia : Jeux de vilaines
Chapitre 2
Alexia sonna à la grille de la résidence privée du docteur. Visiblement, son activité devait être lucrative. Elle déclina l’objet de sa visite, sans réussir
à cacher la pointe d’excitation dans sa voix qui trahissait son état émotionnel. Elle en mouillait déjà sa culotte à l’idée que Pauline allait produire du
lait avec ses grosses mamelles.
Elle remonta l’allée jusque la maison pour se garer derrière un véhicule en stationnement. Elle ouvrit la porte du coffre avec un sourire qui lui remontait
jusqu’aux oreilles. Pauline était allongée en chien de fusil, ses gros seins bien visibles et sa chatte ouverte à la vue d’Alexia.
Alexia tira sur la ceinture pour la faire sortir. Pauline ne put s’empêcher de protester en voyant la maison totalement inconnue qui se présentait devant elle.
Elle voulait éviter de nouvelles humiliations devant un inconnu. Elle refusa de se mettre à 4 pattes et essaya de cacher ses seins d’un bras et son sexe d’une main.
- On ne va plus être copines ! A 4 pattes tout de suite !
- S’il te plait Alex, on n’est chez un total inconnu ! J’ai trop peur !
- Je ne te demande pas ton avis ! Tu es mon esclave jusque lundi matin un point c’est tout !
- Je t’en supplie ! Je ferai tout ce que tu veux mais renonce à cette idée là ! Je serai ton esclave un mois entier !
- C’est tentant ! Mais non ! A 4 pattes et vite !
- Des soucis avec votre animal mademoiselle ? dit une voix grave derrière Alexia.
- Ho rien de grave docteur ! Je m’en occupe !
- S’il te plait partons Alex…
- Tu me fais honte là Pauline ! J’ai l’air de quoi maintenant ! Donc tu vas obéir immédiatement où je me fâche et tu dérouilles ! Comme j’ai un médecin
sous la main, je ne me retiendrai pas !
Pour bien indiquer qu’elle ne plaisantait pas, Alexia plaqua sa main sur la chatte de Pauline et ses doigts vinrent presser son clitoris pour l’écraser.
Pauline poussa un cri de douleur et de surprise. Alexia enfonça ensuite ses ongles dans le petit bouton faisant se dérober les jambes de Pauline sous
elle tant la douleur était forte.
- Je continue ou tu as compris ?
- J’ai compris Alex…
- Maitresse !
- J’ai compris maitresse…
- Bien ! Je vois que nous sommes parvenues à nous entendre.
Alexia prit la ceinture et fièrement s’avança vers le médecin qui les attendait sur son perron, Pauline avançant à 4 pattes, ses grosses mamelles pendantes et
ballotantes sous elle.
- Voici l’animal à traiter docteur !
- Belle bête !
L’homme se pencha et prit un sein dans sa main. Tout au moins une partie d’un sein, celui-ci étant bien trop gros pour sa main. Il le pressa, le massa,
en éprouva la fermeté et sourit très satisfait.
- Elle a un bon potentiel !
- Vraiment docteur ?
- Oui si vous la mettez à la traite quotidiennement, elle pourra donner une jolie production de lait.
- Tous les jours ? Comme une vraie vache ?
- Oui l’idéal serait même 3 fois par jour sinon elle aura des fuites dans la journée !
- Trop cool !
- Je peux me débrouiller pour vous trouver un acheteur pour sa production si vous voulez !
- Ho ce serait parfait docteur !
- Et pour mon paiement ?
- Que souhaitez-vous ?
- Pouvoir jouer avec ses seins pendant une heure ?
- Accordé si je peux regarder !
- Encore mieux oui ! Entrez donc !
Le docteur les guida à travers quelques couloirs jusqu’une pièce médicalisée au milieu de laquelle trônait une table médicale métallique. Alexia prit beaucoup
de plaisir à y faire grimper Pauline à 4 pattes. Celle-ci essaya désespérément d’y grimper sans se remettre debout par peur d’une correction devant le docteur.
Ses gros seins s’écrasaient sur la table lors de ses efforts mais elle ne parvenait pas à y mettre un genou pour prendre un appui définitif et enfin y monter.
Alexia se régala de voir le spectacle de son amie, humiliée par cette incapacité, grotesque dans ses efforts. Cela la réjouissait de voir ses gros seins s’écraser
sur le plateau de la table et y glisser jusqu’à ce que Pauline retombe sur le sol.
Finalement, elle l’aida en lui plaquant sa main sur son cul, glissant son pouce dans l’anus de Pauline et son majeur dans son vagin. Avec cette prise, elle
la souleva pour la faire monter sur la table, sans fléchir malgré ses cris de douleur. Elle retira un immense plaisir à l’humilier ainsi.
Le médecin passa des bracelets métalliques aux 4 membres de Pauline qu’il fixa ensuite à la table. Pauline terrifiée le vit ensuite prendre des pinces crocodiles.
Elle hurla puis se mit à pleurer alors qu’il les lui mettait sur les tétons. Il accrocha ensuite des chaines qu’il tendit et relia à la table. La souffrance irradiait
dans toute sa poitrine, ne diminuant plus en raison de la tension des chaines.
Pauline vit le médecin prendre une nouvelle pince, se demandant à quoi elle pourrait bien servir.
Elle comprit en le voyant se diriger vers sa croupe. Elle sentit alors ses doigts qui lui écartaient les lèvres de sa chatte. Elle avait honte d’être ainsi intimement
ouverte par cet inconnu. La souffrance fut pire que ce à quoi elle s’attendait alors que la pince se refermait sur son clitoris.
Elle fut renforcée par la douleur en provenance de ses seins, suite à ses mouvements incontrôlables liés à ses tourments.
Alexia souriait et se sentait de plus en plus excitée. Elle avait vraiment fait le bon choix en sélectionnant ce médecin. Pauline était coincée à la table par
ses entraves et ses pinces, jamais elle n’avait pensé voir cela un jour. Ses grosses mamelles de femelles étirées par les tétons en permanence. Cette salope
le méritait ! Elle n’avait qu’à pas avoir de tels seins !
- Cela sert à quoi toutes ces pinces docteur ?
- Cela stimule la circulation sanguine chez la femelle.
- Et c’est utile pour ce que vous allez lui faire ?
- Non pas du tout ! Mais cela me fait plaisir de faire souffrir ces petites putes à gros seins !
- Humm vous avez bien raison docteur ! J’aimerais que vous deveniez son médecin traitant !
- Ce sera avec plaisir !
- Et ce martinet à quoi sert-il ?
- Je vais lui fouetter les seins !
- Elle va morfler la salope !
- Sans aucun doute ! Cela va tirer sur ses tétons même si elle parvenait à ne pas bouger en raison de l’impact sur ses seins. De plus les lanières vont forcément
heurter les chaines et tirer sur les tétons et avec la douleur elle va bouger et cela tirera aussi sur la pince de son clitoris.
- Elle va beugler !
- Elle peut ! Cela ne parviendra pas jusqu’aux voisins donc peu importe !
- Et c’est utile ?
- Cela va attendrir ses mamelles !
- Pour l’injection ?
- Non c’est juste pour le plaisir aussi !
- Je vous adore docteur !
- Vous voulez un martinet aussi ?
- Je peux ?
- Oui chacun d’un coté, chacun un sein !
- Cool oui !
Alexia prit le martinet proposé et se plaça à l’opposé du médecin, chacun d’un coté de la table.
Les coups commencèrent à pleuvoir sur les énormes seins de Pauline. Elle hurla comme jamais de sa vie. Les lanières lui martyrisaient ses globes. Chaque heurt sur
les chaines meurtrissait ses tétons. Ses mouvements désordonnés en raison des coups qui pleuvaient la faisaient se meurtrir elle-même son clitoris. Elle avait envie
de s’effondrer sur la table mais ses entraves rendaient le mouvement impossible. Elle était coincée à 4 pattes alors qu’elle aurait voulu se rouler en boule sur
cette table, se recroqueviller sur elle pour se protéger.
Elle finit par se taire, n’ayant plus la force de crier, sa voix éraillée par la trop forte sollicitation de ses cordes vocales. Ses larmes cessèrent aussi de couler,
elle n’avait plus aucune force pour rien et son esprit commençait à se réfugier dans un coin de son cerveau pour fuir la dure réalité.
Le médecin qui surveillait Pauline tout en la frappant indiqua à Alexia qu’il fallait s’arrêter. Il prit un tuyau et projeta de l’eau glacée sur la figure de Pauline
qui revint à elle et hurla à nouveau.
- Nous avons atteint ses limites.
- Déjà !
- Elle est endurante ! Très prometteuse !
- Merci !
- C’est une bonne bête que vous avez là !
- Je savais que je faisais une bonne affaire !
- Je vais faire l’injection maintenant.
Alexia frétillait de plaisir en voyant le médecin sortir une petite fiole ainsi que le nécessaire pour réaliser l’injection. Il intima l’ordre à Pauline de ne
plus bouger d’un pouce le temps de la piqure, pour son bien. Elle le regarda préparer tranquillement et longuement son matériel. Il aspira le liquide dans la
seringue lentement, comme s’il ménageait le suspense.
Finalement, il vint se placer derrière les fesses de Pauline. Il enfonça lentement l’aiguille dans son clitoris. Il le transperça complètement et l’aiguille
continua son chemin dans la chair de Pauline. Cette dernière hurlait de douleur, son clitoris déjà serré par la pince, maintenant transpercé par une aiguille.
Il appuya ensuite sur le piston de la seringue pour faire l’injection.
- C’est compliqué comme injection docteur !
- Non, ça va tout seul !
- Pas facile tout de même de passer comme cela dans le clitoris !
- Ho ce n’est pas nécessaire. Une intramusculaire toute simple suffit. C’est juste pour m’amuser.
- Vous êtes vraiment cool vous !
- Merci !
- Et maintenant ?
- Hé bien je vais avoir droit à ma rémunération !
- Je posais la question pour le lait…
- Elle devrait avoir une montée de lait d’ici demain midi dit le médecin après consultation de sa montre. Au plus tard pour 16H. Si vous la trayez bien,
la suivante se fera de façon naturelle et le lait sera de plus en plus abondant au cours des prochains jours. Au bout d’une semaine, elle sera à pleine capacité.
- Je vais me transformer en petite fermière alors.
- Il n’y a pas de sot métier !
- Oui et puis mieux vaut être fermière que vache à lait !
Alexia et le médecin rirent aux éclats. Il se présenta devant Pauline et lui ordonna d’ouvrir sa braguette. Celle-ci fit un geste d’impuissance, toujours entravée.
Il lui donna alors une bonne gifle après avoir demandé la permission de se faire à Alexia. Il la traita de petite gourde sans cervelle lui ordonnant de le faire de
la bouche et des dents.
Pauline effrayée prit la tirette entre les dents pour la baisser comme elle le pouvait. Le sexe du docteur lui jaillit sous le nez pendant qu’elle terminait d’ouvrir
sa braguette, s’allongeant et grossissant de plus en plus, menaçant de lui rentrer dans l’œil gauche.
Elle regarda effarée la longue et énorme tige qui se présentait à elle. Elle pensait que seuls les africains disposaient d’engins pareils.
Alexia regarda surprise aussi le bel engin que le médecin exhibait fièrement. Il devait bien faire une trentaine de cm de longueur et 7 cm de diamètre. Elle sentit
son sexe couler sur ses cuisses alors même que son esprit lui disait qu’elle serait bien incapable de prendre un tel sexe en elle.
Le médecin ordonna à Pauline de lui lécher son engin du haut en bas à petits coups de langue sans oublier ses couilles. Il était poilu et Pauline dut résister à
l’envie de cracher ou de vomir à plusieurs reprises alors qu’elle était obligée d’avaler quelques poils en cours d’exercice. Il n’y eu plus que le bruit de ses
lapements pendant une bonne dizaine de minutes dans la pièce.
Alexia qui avait demandé l’autorisation au médecin filma toute la scène, prenant aussi bien à l’écran le corps entravé de Pauline en vidéo ainsi que ses seins étirés
par les pinces et les chaines.
Le médecin finit par pincer le nez de Pauline et par lui enfiler sa queue dans la bouche puis la gorge, d’une seule poussée, rapide et sans aucun signe d’hésitation.
Il ne tint pas compte des signes de hauts le cœur de Pauline et ne lui libéra les narines qu’une fois sa queue plantée entièrement dans sa bouche et sa gorge.
Il poussa un grand cri et jouit dans la gorge de Pauline. Après le premier jet, il retira sa queue de sa gorge pour bien lui jouir dans sa bouche. Alexia vit du sperme
sortir entre les lèvres de Pauline et la queue du médecin, tant les jets étaient abondants.
- Voilà dit le médecin. Je préfère jouir une première fois ainsi parce que sinon je jouis trop vite. La seconde fois est plus longue à venir.
Il détacha les chaines de Pauline ainsi que ses entraves puis lui retira les pinces une à une, la laissant bien hurler après chaque retrait, alors que le sang
irriguait à nouveau les parties libérées. Pauline en tomba à genoux de couleur puis s’effondra sur le sol lors du retrait de la pince de son clitoris.
- Ca leur fait toujours de l’effet !
- Je vois ça !
- Les fois suivantes, c’est tout juste si elles ne supplient pas pour rester avec les pinces ces salopes ! Alors que ça se lamente quand on leur en met !
- Les bêtes, ça ne sait jamais ce que cela veut !
Le médecin poussa le corps de Pauline du pied pour qu’elle s’allonge sur le dos. Il la guida de sa semelle pour qu’elle se place selon ses désirs, l’humiliant
un peu plus encore. Il s’assit sur son ventre, une jambe de chaque coté de ses hanches, plaçant sa queue entre ses deux globes. Il attrapa les tetons entre
ses pouces et index et serra ainsi les seins de Pauline sur sa queue, s’en faisant un doux fourreau. Alexia n’en manquait pas une miette, filmant bien toute la scène.
Le médecin ne bougeait pas, jouant à remuer les mamelles de Pauline sur sa queue en les agitant par les tétons. Pauline visiblement souffrait de nouveau
physiquement en plus de subir ces multiples humiliations. Elle ne ressentait aucune once de plaisir à être traitée ainsi. La douleur était partout présente
en elle et cette queue énorme qui s’agitait entre ses seins l’inquiétait. Elle avait peur que l’idée ne vienne au médecin d’essayer de la pénétrer et
son engin était bien trop gros pour elle.
Il poussa sa queue plus haut entre ses seins jusqu’à ce que son gland heurte le menton de Pauline. Une fois ainsi, il ordonna à la petite femelle de lui lécher
le gland pendant qu’il se massait avec ses seins.
Alexia continua de tourner autour d’eux pour immortaliser la scène sous tous ses angles. Elle était la culotte sur ses genoux et avait retroussé sa jupe sur
ses hanches pour se caresser le clito à son aise tout en matant ce qui se passait. C’était trop émotionnellement pour elle, elle avait besoin de se soulager
en jouissant.
Sa jouissance éclata lorsqu’elle vit le sperme jaillir du gland du médecin et arroser toute la figure et la chevelure de Pauline, laissant des trainées blanches
dans ses cheveux bruns.
Elle se dit dommage pour le film, ayant perdu le cadrage alors qu’elle jouissait. Tout un métier que de prendre des images pornographiques tout en gérant son plaisir.
Le médecin racla son sperme des doigts sur le visage ou dans les cheveux de Pauline pour le lui donner à laper. Il lui flatta les seins en la traitant de brave bête.
Pauline commençait à s’habituer à cela et n’en rougissait plus en l’entendant.
Le médecin se leva et chuchota une demande à l’oreille d’Alexia qui acquiesça avec enthousiasme. Pauline l’entendit angoissée dire qu’entre animaux, il fallait
bien se rendre des petits services.
L’homme s’absenta quelques minutes alors qu’Alexia ordonnait à Pauline de se remettre à 4 pattes.
- Tu es une belle salope comme ça !
- S’il te plait Alex, partons…
- Non ! Le paiement du service n’est pas terminé !
- Mais je l’ai fait jouir deux fois !
- Il n’y a pas que lui ! Ne soit pas si égoïste sale bête !
- Je n’en peux plus ! J’ai trop mal partout…
- Je te soignerai ce soir quand nous serons rentrées.
- Pitié…
- Tu veux une correction ?
- Non non Alex.
- Alors tais-toi ! Et appelle-moi maitresse ou je te claque tes énormes mamelles de vache !
Le médecin rentra dans la pièce accompagné par un gigantesque danois noir. Le chien était tout excité, la queue battant ses reins.
Pauline poussa un petit cri de terreur en voyant le chien entrer dans la salle. Le voir depuis sa position à 4 pattes rendait la bête encore plus impressionnante
qu’en position debout.
Le chien vint aussitôt renifler ses fesses et lui laper son anus et sa chatte. Pauline baissa la tête écœurée et humiliée de devoir se laisser faire par l’animal.
Elle aurait bien voulu pouvoir se lever et courir pour fuir jusque la voiture mais elle savait que ni Alexia ni le médecin ne la laisserait faire. Ce qui l’inquiétait
aussi, c’était les représailles qui s’ensuivraient immanquablement.
Ce docteur avait l’air de disposer de matériel et d’imagination dans le domaine de la torture. Elle ne tenait pas à ce qu’il lui gâche encore plus sa soirée.
Pauline reçut l’ordre de sucer le chien pour le faire bien bander. Elle le regarda longuement, effarée de recevoir un tel ordre. Les menaces de pinces sur son clito
et ses tétons revinrent aussitôt, accompagnées d’une menace d’injection d’une solution saline douloureuse dans ses seins pour la punir.
Terrorisée, Pauline passa la tête sous le ventre de la bête. L’odeur envahit aussitôt ses narines. Cela sentait très fort le chien. Elle fut agréablement surprise
cependant que cela ne sente ni l’urine ni le sperme. C’est vrai que les chiens passent le temps à se lécher pensa t’elle pour se rassurer, se dégouttant par
la même occasion en pensant à la salive qui devait y avoir séché.
Elle essaya de faire abstraction de l’odeur et sortit sa langue pour laper le bout du fourreau. Une petite pointe lisse en sortit rapidement qu’elle s’empressa
de lécher encore. Le sexe continua de sortir et de s’allonger devant sa bouche. Elle fit coulisser sa langue tout du long ainsi que sur la pointe et la boule
commença à se former à la base. La taille de sa pine était aussi imposante que celle de son maitre.
Le chien reçut alors l’ordre de se coucher sur le sol puis de se mettre sur le dos. Le docteur montra à Pauline comment prendre la queue de la main derrière la boule
pour faire croire au chien qu’il était dans une femelle et ainsi l’empêcher de bouger.
Pauline prit la queue du chien comme indiqué. Elle était grosse, longue et lourde, très douce au touché et aussi très chaude. Elle eut honte d’elle. Elle avait
léché cette queue et maintenant elle la prenait en main. Une queue de chien…
Elle reçut alors l’ordre de masser cette queue de ses mamelles jusqu’à ce que le chien ait fini de jouir. Ecœurée par le contact contre ses tétons et ses seins,
elle se força à obéir par peur de la torture évoquée par le docteur. Elle fit passer ses tétons tour à tour tout le long de la queue du chien qui semblait apprécier
le traitement puis elle joua avec sur la pointe du gland. De petits jets de liquide séminal commencèrent à se produire. Elle accentua sa caresse, pressant
ses mamelles sur la queue, la branlant de ses seins.
Elle poussa un grand cri de douleur alors que le docteur la pénétrait de son gland. Il venait de la saisir par les hanches de ses mains et d’un grand coup de reins,
il venait de faire entrer la première moitié de son sexe dans son vagin. Il enchaina les coups de queue en elle sans se soucier de ses cris, pilonnant
son col de l’utérus. Pauline essaya de se concentrer sur la tache qui lui avait été confiée, tout en oubliant le viol dont elle était l’objet. Les jets du chien
devinrent tout à coup plus blancs et plus épais. Il jouissait enfin. Cela coulait partout sur elle et sur le sol, bien plus abondant que chez un homme.
L’homme pendant ce temps continuait de travailler son col à coup de gland au fond d’elle. Il poussa enfin tout en la tirant violemment des hanches et Pauline
hurla transpercée, pleurant toutes les larmes de son corps. Le gland énorme du docteur venait de forcer son col et de passer dans son utérus. L’homme continua
sa poussée pour entrer jusqu’à la garde, ses couilles venant battre contre les fesses de Pauline.
Alexia se caressait à nouveau le clitoris tout en filmant la pénétration sauvage et les jets de sperme du chien qui frappaient toujours les seins, le visage
et les cheveux de Pauline.
Elle jouit juste avant l’homme dont la queue était bien trop agréablement massée par l’utérus de son amie pour qu’il tienne plus longuement sans se laisser aller.
Alexia, après avoir repris quelque peu ses esprits, ordonna à Pauline de sucer la queue du chien pour la nettoyer et le remercier de son bon vouloir.
Le docteur sortit du vagin de Pauline et se nettoya d’une lingette avant de proposer un rafraichissement à Alexia.
- Pas de raison que votre animal se désaltère en buvant mon chien et que nous nous mourrions de soif ! Dit il en riant.
- Vous avez raison docteur !
- Whisky ?
- Bonne idée oui avec un glaçon s’il vous plait !
Ils s’assirent dans un coin de la pièce à une petite table et commencèrent à siroter leurs verres tout en regardant Pauline qui s’activait sur la queue du chien.
Il finit par débander et s’éloigna d’elle pour aller se reposer dans une autre pièce.
- Je suis gentille, pas de raison que tu ne puisses pas boire aussi un peu de whisky !
Alexia s’approcha de Pauline et versa quelques gouttes de son verre dans la petite flaque de sperme canin sur le sol.
- Allez lape bien tout ! Nous ne partirons pas tant que tout ne sera pas bien propre petite souillon !
Le docteur rit et leur resservit à boire, pendant que Pauline dégoutée se résignait à avaler tout le sperme en l’aspirant et en le léchant sur le sol…
A suivre...
Mes histoires vous plaisent, n'hésitez pas à m'écrire french_master@hotmail.fr
Review This Story || Email Author: French_Master.